L’UdeS au sommet des meilleurs employeurs canadiens grâce à sa culture humaine et collaborative

L’Université de Sherbrooke, c’est une communauté de plus de 8400 personnes engagées dans un milieu de travail accueillant, ouvert à la différence et aux idées audacieuses. Aux dires de nombreux membres du personnel, travailler à l’UdeS, c’est évoluer dans un environnement convivial et innovant qui favorise le bien-être, la collaboration et le développement professionnel. C’est cette culture organisationnelle si humaine qui vaut aujourd’hui à l’UdeS une place de choix parmi les meilleurs employeurs au Canada, selon un récent classement du magazine Forbes.

Dévoilé le 15 juillet dernier, le palmarès classe l’établissement d’enseignement et de recherche au 5^e rang des grandes entreprises et organisations canadiennes reconnues pour la qualité de leur culture. Cette nouvelle catégorie, lancée conjointement par Forbes et Statista, vise à reconnaître les milieux de travail qui bénéficient d’une culture organisationnelle forte, inclusive et engageante, où la valorisation et l’épanouissement des employées et employés sont à l’honneur.

L’épanouissement, c’est d’ailleurs ce qui résume parfaitement l’expérience d’Amélie comme membre du personnel à l’UdeS depuis quelques années. Lyne, qui y évolue depuis plus de 25 ans, souligne quant à elle l’entraide et l’humour partagés au sein de son équipe, deux sources essentielles de motivation au quotidien. Michel insiste sur la richesse des rencontres humaines vécues dans le cadre de son travail, tandis que Louise évoque la reconnaissance constante reçue au fil des années, qui lui a toujours donné le sentiment de compter réellement pour l’organisation. De son côté, Marie-Hélène met en lumière les nombreuses possibilités de développement professionnel qu’offre son employeur.

Une culture unique, portée par une vision humaine

Ces témoignages d’appréciation de leur environnement de travail sont accueillis très favorablement par le nouveau vice-recteur aux ressources humaines et au développement de la communauté de l’UdeS, le professeur Martin Bisaillon. Entré en fonction le 1^er juin dernier, il aspire à faire rayonner l'UdeS comme un employeur de choix, reconnu pour ses initiatives visant le bien-être de son personnel et de sa communauté étudiante.

Favoriser un milieu de travail stimulant, humain, collaboratif et inclusif, où tous les membres de notre personnel peuvent se développer pleinement, figure en tête de liste de nos priorités. Je tiens à les féliciter de cette reconnaissance puisqu’ils sont au cœur même de notre culture organisationnelle. Aussi, avec eux, je souhaite continuer à faire évoluer nos pratiques pour offrir une expérience employé extraordinaire ainsi que des occasions de développement tout au long de la carrière.

Pr Martin Bisaillon, vice-recteur aux ressources humaines et au développement de la communauté

Apprendre et évoluer tout au long de sa carrière fait partie intégrante de l’expérience UdeS. L’établissement investit activement dans le développement des compétences de ses équipes, notamment par l’entremise d’un large éventail d’activités de perfectionnement, sans oublier une offre de formations et de conférences portant sur des enjeux actuels comme la sécurité psychologique, le bien-être au travail, la gestion du stress ou encore la cybersécurité.

L’UdeS mise aussi sur une culture de savoir-être, encouragée par des campagnes internes axées sur l’écoute, le respect, l’équité, ainsi que l’ouverture d’esprit pour mieux vivre ensemble. Chaque membre du personnel est ainsi invité à favoriser un climat de confiance et à contribuer à une culture organisationnelle durable, humaine et inclusive.

Reconnaître, valoriser et faire grandir sa communauté

À travers divers événements de reconnaissance mobilisateurs, l’UdeS veille à souligner le dévouement et les contributions de son personnel. Entre autres, les Prix Inspiration mettent en lumière l’engagement, l’initiative, la qualité de service, l’humanisme ainsi que l’esprit d’équipe de collègues issus de tous les horizons et de toutes les catégories d’emploi. Plus de 2200 fiches de candidatures ont été reçues de la part de membres de la communauté universitaire depuis la création de ces prix en 2017, signe d’une profonde culture de reconnaissance et d’un attachement sincère à faire briller celles et ceux qui changent la donne au quotidien.

Les traditionnelles Journées du personnel permettent par ailleurs de tisser des liens entre collègues de tous les secteurs et d’élargir son réseau de collaboration au sein de l’organisation, par l’entremise d’activités sportives, culturelles et sociales. Plus de 1400 membres du personnel ont pris part à la dernière édition tenue en mai dernier.

Un vox pop capté pendant les Journées du personnel donne voix aux membres du personnel sur ce qui les fait se sentir bien au travail.

L’UdeS valorise également l’équilibre de vie et le bien-être global par une gamme de mesures touchant la conciliation travail-vie personnelle, la santé et le développement professionnel. Sa vaste démarche de santé organisationnelle, amorcée en 2020, vise à bâtir un milieu de travail sain, inclusif et épanouissant en s’appuyant sur les besoins réels exprimés par sa communauté. Ce climat de confiance, de respect et d’entraide contribue à nourrir un fort sentiment d’appartenance et un esprit de famille qui font la fierté du personnel.

Travailler à l’UdeS, c’est donc bien plus qu’occuper un emploi : c’est faire partie d’une communauté engagée, où chaque personne est reconnue pour sa contribution unique. Et c’est précisément cette force humaine, ancrée au cœur de sa culture organisationnelle, qui vaut aujourd’hui à l’UdeS sa place enviable au classement Forbes des meilleurs employeurs au Canada dans cette catégorie.

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Pour en savoir plus sur l’enquête de Forbes : 
L’enquête de Forbes a été menée par voie électronique auprès de 40 000 Canadiennes et Canadiens travaillant au sein d’entreprises et d’organisations employant plus de 500 personnes, excluant le secteur des services gouvernementaux. Les sondages ont été remplis de façon anonyme sur une base volontaire, et ce, sans aucune implication des employeurs dans le processus. Ce classement sur la culture organisationnelle prend en compte des données recueillies au cours des trois dernières années.