Aller au contenu

Soutien à l'apprentissage

Les services de soutien à l’apprentissage proposent de l’aide concrète dans l’amélioration et l’acquisition de compétences scolaires.

Au programme : de l’aide pour la gestion du temps, la préparation aux examens, la procrastination et bien d’autres.

Atelier sur les méthodes de travail intellectuel

Offert chaque trimestre, cet atelier vous permettra :

  • de mieux planifier votre temps;
  • d'améliorer votre prise de notes et votre capacité d'attention et de concentration;
  • de bien vous préparer à vos examens;
  • de mieux gérer votre stress;
  • d'améliorer vos travaux écrits.

Nouvelles dates à venir pour le trimestre d'hiver 2024!

Consultation individuelle

Une rencontre d'environ 50 minutes vous permet d'explorer avec une personne professionnelle votre méthode d'étude afin de vous aider à atteindre vos objectifs.

Veuillez remplir le formulaire suivant et le transmettre par courriel à spo@USherbrooke.ca. Le tarif est de 20 $.

REMPLIR LE FORMULAIRE DE DEMANDE DE CONSULTATION

Application Agenda : pour mieux gérer votre temps

Vous avez de la difficulté à gérer votre temps? À organiser votre horaire?

L'application Agenda vous permet de créer votre horaire sur mesure en intégrant vos cours automatiquement. Vous pouvez également créer des événements reliés aux études ou aux loisirs. Par la suite, l'application donne accès à des rapports qui affichent la complétion des événements pour une journée, un mois ou une session.

Outils à découvrir

Essayez la technique Pomodoro. Pour en savoir plus sur la technique Pomodoro, consultez la chronique sur le sujet.
 

    L'application Agenda peut vous aider.

      Ressources par thématique

      Me voilà en piste pour la session qui débute. En moi, un tourbillon de pensées et d’émotions s’anime : il y a tant à faire… les cours, les travaux, la dizaine d’examens, les fameuses réunions d’équipe... Sans compter mon boulot, mes amours, mes amis, le gym et les autres activités personnelles, ouf! Juste y penser m'épuise! Je suis complètement déchiré entre l’engouement du nouveau et la peur de ne pouvoir y arriver.

      Une question s’impose alors clairement à mon esprit : par quoi commencer? C’est le moment de sortir l’agenda!

      Apprendre à jongler avec ses priorités d’étudiant n’est pas chose facile et pourtant, pour performer à l’université, vous n’aurez d’autres choix!   

      Quelques trucs pour y arriver

      • Définissez vos priorités à chaque session et des actions concrètes pour les atteindre.
      • Faites des choix qui favorisent l’équilibre de vie afin de bien performer aux études tout en prévenant l’épuisement. Autrement dit, au-delà des devoirs et obligations, planifiez des moments de détente et de plaisir.
      • Identifiez vos « grugeurs de temps » et mettez en place des moyens concrets pour les contrôler.
      • Bâtissez un horaire réaliste et à votre image.
      • Prenez contact avec votre volonté.
      • Prévoyez du temps pour les imprévus.

      Participez à l'atelier sur les méthodes de travail intellectuel pour en savoir davantage.

      Pour en savoir plus

      Lectures complémentaires

      • BURKA, J.B. & YUEN, L.M. (1986).  Pourquoi remettre à plus tard?, Le jour, éditeur.
      • MORGENSTERN, Julie. (2002).  Gérez votre temps, vivez pleinement.  Varennes, Éditions AdA.
      • KOELTZ, B. (2008). Comment ne pas tout remettre au lendemain. Paris, Éditions Odile Jacob.
      • STEEL, P. (2010). Procrastination, pourquoi remet-on à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui? Éditions Privé.

      Première session de cours à l’université, premier appartement qui arrive avec sa panoplie de premières responsabilités (financières, ménagères et autres…).C’est aussi la première fois que vous quittez votre région natale, et, par le fait même, la première fois que vous vous sentez aussi loin des vôtres alors qu’il y aurait tant de nouveauté à partager. Bref, c’est l’année des grandes premières et, comme si votre santé mentale n’était pas suffisamment mise à l’épreuve, les premiers examens s’en viennent à grand pas, suivi de près par les premières remises de travaux! Comment rester zen face à la charge de travail, les échéanciers, les examens, les rapports de stage, en plus de tous ces changements qui bouleversent votre vie?

      Gérer son stress ne signifie pas enrayer toute source de stress. C’est plutôt apprendre à vivre avec celles-ci en développant des stratégies adaptatives qui permettent d’y faire face.

      Quelques trucs pour y arriver

      • Mettez-vous en mode préventif pour voir venir les périodes de grand stress.
      • Soyez attentif à la façon dont le stress se manifeste chez vous (symptômes).
      • Écoutez le malaise et identifiez vos sources de stress.
      • Reconnaissez vos stratégies habituelles de gestion du stress.
      • Tâchez d’élargir votre répertoire en essayant de nouvelles stratégies.
      • Choisissez parmi des stratégies centrées sur la résolution du problème (ex. : étudier pour un examen) et/ou d’autres qui favorisent la régulation de vos émotions (ex.: ventiler auprès d’un ami).
      • Développez une bonne hygiène de vie (repos suffisant, saine alimentation, exercice, relaxation, etc.)

      Lecture complémentaire

      • SERVAN-SCHREIBER, Jean-Louis. (2000). Contre le stress : le nouvel art du temps, Paris, Albin Michel.

      Vous feuilletez votre plan de cours nerveusement en espérant pouvoir y échapper ce coup-ci. Eh non, vous constatez à votre grand regret que vous devez faire un autre exposé oral. Les craintes se pointent… peur d’être jugé, d’avoir l’air nerveux, que votre sujet soit plate, de devenir rouge, d’avoir des imprévus, d’être imparfait, d’être critiqué, etc.

      Vous vous rendez à votre emploi en vous disant qu’au moins en travaillant vous allez arrêter d’y penser. Comble du malheur, votre patron vous demande d’animer la prochaine réunion. Décidément, tout le monde s’est donné le mot pour vous faire parler en public. Est-ce un complot?!

      En tant que professionnel, les occasions de parler en public sont nombreuses. Il est donc judicieux de développer des stratégies dans ce domaine afin que cette expérience soit agréable et optimale.

      Quelques trucs pour y arriver

      • Connaissez bien votre auditoire
      • Identifiez votre intention, l’objectif à atteindre
      • Utilisez votre créativité (exercices, interactions ou supports visuels)
      • Tenez compte de vos intérêts et de vos aptitudes dans le choix du sujet
      • Misez sur l’authenticité
      • Imaginez les imprévus et trouvez des solutions
      • Identifiez les pensées négatives, accueillez-les et recadrez-les
      • Surveillez l’anxiété de performance et privilégiez les attentes réalistes
      • Ayez bien intégré votre sujet
      • Pratiquez, pratiquez et pratiquez devant un ami ou une classe imaginaire
      • Prévoyez des vêtements dans lesquels vous vous sentez bien

      Pour en savoir plus

      Ça y est, les examens approchent et avec eux les innombrables choses à mémoriser. Mon principal outil pour le faire : ma mémoire. Et pourtant, la mémoire est une faculté qui oublie! Comment m'y prendre pour m'assurer qu’elle ne me lâche pas le jour J?  

      Le processus de mémorisation repose sur l’organisation logique de l’information en misant sur l’établissement de relations entre les nouveaux apprentissages et ceux déjà acquis en mémoire, ainsi que sur la réactivation fréquente des contenus mémorisés.

      Bien au-delà du « apprendre par cœur », la mémorisation nécessite un effort constant de compréhension.

      Quelques trucs pour y arriver

      • Règle d’or : visez la compréhension de la matière dans vos méthodes d’études (faire des schémas, des résumés, trouver des exemples, vous questionner, etc.)
      • Récitez à voix haute les contenus à apprendre afin de les enregistrer en mémoire.
      • Organisez l’information en lui donnant un sens.
      • Révisez souvent pour contrer l’oubli.
      • Lorsque des informations précises et détaillées doivent être retenues, ayez recours à des systèmes mnémotechniques (acronymes, catégorisation, etc.) 
      • Utilisez votre créativité pour trouver une logique.

      Participez à l'atelier sur les méthodes de travail intellectuel afin d'en apprendre davantage.

      Pour en savoir plus

      Lectures complémentaires

      • BOUTIN, Noël. (2009). En route vers une formation professionnelle universitaire réussie, Sherbrooke, Les Éditions André Noël.
      • DE SÉRÉVILLE, Chantal. (2000). Forgez-vous une mémoire d’éléphant, Paris, Librairie Générale Française.

      La méditation est avant tout une démarche pour se recentrer dans le moment présent. On y développe graduellement une attitude permettant de lâcher-prise et d'accueillir la vie qui se déploie à chaque instant tout en cultivant la compassion et la gratitude.

      Méditer dans quel but?

      Plusieurs bienfaits psychologiques et physiologiques ont été observés par la recherche scientifique au cours des 40 dernières années.

      Parmi les bienfaits de la méditation :

      • amélioration de la qualité de vie, augmentation de sentiments agréables comme la sérénité;
      • diminution du stress et de l’anxiété;
      • amélioration du système immunitaire;
      • amélioration des fonctions cognitives comme la concentration;
      • amélioration de l’empathie.

      Selon plusieurs personnes expérimentés, pour méditer véritablement, il vaut mieux n'entretenir aucune attente de résultats. La méditation sert avant tout à être véritablement en contact avec soi-même, à être entièrement là où on est.

      Différences entre méditation et visualisation

      VisualisationMéditation de pleine conscience
      En commençant, plusieurs profitent plus rapidement des exercices de visualisation pour apprendre à se détendre. Les activités sont apaisantes alors qu’on cherche à prendre une pause des stress de la vie quotidienne.La méditation est un exercice plus exigeant où l'on entraîne notre attention dans le but d’approfondir une posture psychologique de présence bienveillante et non réactive.
      Par exemple, en visualisation, on pourrait chercher à changer la perception d'une situation en l'imaginant de façon différente.

      On suggère aux débutants de commencer par des exercices de visualisation si la méditation est trop difficile.
      En méditation, il est plutôt question d’observer nos pensées et toutes nos expériences telles qu’elles sont sans chercher à les changer.

      L’entraînement régulier vise une meilleure connaissance de soi et le développement d’une attitude paisible envers soi et envers la vie en général - ce qui est fort utile pour le travail, la vie personnelle et sociale.
      La visualisation favorise la réduction du stress, la douleur, et soutient la créativité.1En plus de réduire les tensions musculaires et la détresse et de favoriser une humeur positive, la méditation permet progressivement de réduire la distractibilité et les pensées et comportements de rumination dans la vie en général en dehors des moments d’exercice.1
      1. Jain S, Shapiro S, Swanick, S, et al., « A Randomized Controlled Trial of Mindfulness Meditation Versus Relaxation Training : Effects on Distress, Positive States of Mind, Rumination, and Distraction», Annals of Behavioral Medecine, 2007, vol. 33, no 1, p. 11-21. 

      Hyperliens et références

      La fin de session... pourquoi cette période me fait-elle tant angoisser? Pour la simple et bonne raison qu’on y tente d’intégrer la matière de toute la session en une seule et même semaine! Très logique de se sentir débordé! En fait, n’importe qui redouterait un moment pareil où l’on en vient à négliger nos besoins les plus fondamentaux. On devient alors stressé, ce qui n’est pas sans interférer avec nos fonctions cognitives et nuire à nos performances.

      Comme l’athlète qui se présente à une compétition, l’étudiant se doit d’arriver à l’examen préparé, et ce, dans tous les sens du terme!

      Quelques trucs pour y arriver

      • Ayez de bonnes stratégies de gestion du stress.
      • Débutez votre préparation aux examens dès le jour 1 de la session.
      • En fin de session, tâchez de garder de bonnes habitudes de vie (repos, saine alimentation, exercice, détente, etc.)
      • Classez vos activités par ordre de priorité. 
      • À la réception du questionnaire, survolez l’ensemble de l’examen et planifiez le temps de réponse en considérant la répartition des points.
      • Afin de bien répondre, lisez plusieurs fois la question en soulignant les mots et concepts importants (verbes, négation, etc.)
      • Le jour J, évitez les regroupements d’étudiants stressés qui pourraient vous contaminer.
      • Après un examen, récompensez l’effort que vous avez fourni et non le résultat.

      Participez à l'atelier sur les méthodes de travail intellectuel afin d'en apprendre davantage.

      Pour en savoir plus

      Lecture complémentaire

      • SERVAN-SCHREIBER, Jean-Louis. (2000). Contre le stress : le nouvel art du temps, Paris, Albin Michel.

      Ouf! Encore quelque 30 pages à lire et je pourrai passer à autre chose... Ça risque d'être long : j'ai dû relire le dernier paragraphe trois fois avant de pouvoir réaliser de quoi il traitait! Il faut que je me concentre... le contenu sera sûrement à l'examen!

      La lecture est l’une des premières habiletés scolaires que l’on développe et pourtant ce thème demeure l’un des plus prisés par les étudiants qui désirent améliorer leurs techniques d’étude. En fait, à mesure que les contenus théoriques se raffinent et que la quantité de lectures à faire augmente, on se doit d’améliorer nos techniques.

      Quelques trucs pour y arriver

      • Identifiez votre intention afin de préparer votre cerveau à chercher la réponse lors de la lecture.
      • Avant de commencer, faites un rappel de vos connaissances déjà acquises sur le thème.
      • Vérifiez régulièrement votre compréhension.
      • Reformulez de mémoire et dans vos mots le paragraphe, la page ou le bloc lu.
      • Ajoutez des commentaires dans la marge.
      • Faites un schéma, un tableau ou un résumé dans vos mots à la fin de votre lecture.

      Pour en savoir plus

      C'est aujourd'hui la rencontre d'équipe pour le travail de fin de session. Avec quatre agendas à considérer, la date de cette rencontre a été compliquée à fixer! Cela laisse déjà présager la lourdeur de la tâche. Pourtant, 15 minutes ont suffi à vous séparer le travail et vous voilà à nouveau seul avec votre « partie ». On prendra bien un dernier moment pour rafistoler le tout, mais est-ce bien là un véritable travail d’équipe?

      Bien qu’il soit un incontournable de la vie universitaire, rares sont les étudiants pouvant se vanter d’avoir appris l’art du travail d’équipe en cours d’étude. Il s’agit pourtant d’une compétence gagnante à acquérir, puisqu’elle est prisée par les employeurs, peu importe le domaine de formation. 

      Quelques trucs pour y arriver

      • Dès les premiers moments de la rencontre d'équipe, prenez un temps pour définir comment travailler ensemble (modalités des rencontres, attentes de chacun, ressources, etc.)
      • Lors de la première rencontre, établissez l’horaire de vos rencontres pour la session.
      • Clarifiez et répartissez les tâches selon les ressources de chacun.
      • Bâtissez un plan de travail et référez-vous y régulièrement afin de garder en tête la cible commune.
      • Pour chaque rencontre, faites un ordre du jour et choisissez un animateur.
      • Identifiez et parlez des problèmes le plus tôt possible afin d’y apporter des correctifs.
      • Visez l’équilibre entre « être axé sur la tâche » et « être axé sur les relations ».

      Pour en savoir plus

      Lectures complémentaires

      • BEAUD, M & Daniel, L. (1988). L’art de la thèse.  Les éditions Boréal.
      • ST-ARNAUD, Yves. (1989). Les petits groupes participation et communication, Éditions du CIM.

      La session va bon train et je m'en tire plutôt bien. Je mène de front la préparation de mes cours, les lectures et les périodes d’étude. J'ai même commencé à lire en vue de réaliser le travail de session. En fait, je me sens même « en avance » parce que les heures de recherche à la bibliothèque portent fruit et j'accumule les références.

      Dernièrement, pourtant, cet élan de documentation qui ne cesse de grandir m'apparaît soudainement comme une tactique d’évitement… Éviter de commencer à rédiger! Serais-je atteint d’une nouvelle forme du syndrome de la page blanche?   

      Bon nombre d’étudiants vivent des difficultés à rédiger leurs travaux scolaires ou y parviennent avec très peu de méthode. Sachez qu’il existe des façons de faire pour encadrer le processus de rédaction et lui donner son élan.   

      Quelques trucs pour y arriver

      • Avant de commencer, assurez-vous de bien comprendre les directives.
      • Consultez votre document facultaire concernant les normes de rédaction.
      • Faites un plan sommaire du travail comprenant les éléments que vous désirez couvrir. En définitive, il deviendra la table des matières.
      • Travaillez sur l’enchainement logique des idées en dégageant les idées principales et secondaires.
      • Écrivez l’introduction une fois le travail terminé afin d’avoir une idée claire des thèmes à introduire. 
      • Ne négligez pas l’importance de la conclusion et assurez-vous de lui réserver le temps nécessaire.
      • Idéalement, laissez reposer le texte quelques jours avant d’en faire la révision finale.

      Pour en savoir plus

      Lectures complémentaires

      • TREMBLAY, R. et PERRIER, Y. (2006). Savoir plus : Outils et méthodes de travail intellectuel. Éditions de la Chenelière.

      Prendre des notes, voilà une stratégie d’étude qui ne devrait pas donner de maux de têtes aux étudiants! Pas besoin de créativité ou même d’inspiration, juste savoir écrire!

      Et pourtant, lorsque le professeur, qui se veut un expert dans son domaine, y va de son savoir théorique à la vitesse de l’éclair et en des mots techniques jamais entendus auparavant, vous êtes soudainement moins certain de votre capacité à l’écriture.

      Bien souvent, vous hésitez alors entre le « mot pour mot » – et son risque de tendinite! – et un espace blanc, tout simplement! Plusieurs se retrouvent alors avec des notes décousues, incomplètes, voire carrément illisibles! Rien de très pratique pour la révision.

      La prise de notes constitue une première période d’étude, puisqu’elle contribue à la mémorisation et aide à la compréhension de la matière. Il est donc indispensable de développer une méthode de prise de notes efficace.

      Quelques trucs pour y arriver

      • Ayez en main votre matériel : cartable, feuilles lignées trouées, crayon au plomb.
      • Organisez adéquatement la page afin de structurer vos notes.
      • Écrivez uniquement au recto. Gardez le verso pour les annotations (références, éléments à savoir pour l’examen, définitions, etc.)
      • Inscrivez toujours la date, le titre du cours et les numéros de pages afin de pouvoir vous y retrouver facilement.
      • Notez l’essentiel : les lectures préparatoires et le plan de cours peuvent aider à cerner l’essentiel.
      • Assurez-vous d’avoir les définitions, les explications, les exemples significatifs, les nuances et les précisions.
      • Identifiez les idées principales.
      • Essayez de transcrire les idées dans vos propres mots (excepté les définitions et termes exacts).
      • Utilisez un vocabulaire synthétique.
      • Schématisez l’information.

      Pour en savoir plus

      Lectures complémentaires

      • LETARTE, A. & LAFOND, F. (1994). L’écoute en classe et la prise de notes, Service de psychologie et d’orientation, Université Laval.
      • TREMBLAY, R. et Y. PERRIER. (2000). Savoir plus : outils et méthodes de travail intellectuel, Chenelière / McGraw-Hill, Montréal.

      Pendant que vous êtes en classe, un nombre incalculable de pensées défilent dans votre esprit, reléguant au second plan les propos théoriques de la professeure ou du professeur :

      • Les comptes que vous n’avez pas encore payés…
      • Quoi porter au 5 à 7 ce jeudi…
      • Le film visionné la veille en bonne compagnie…
      • La dernière dispute avec un ami…
      • Les cliquetis que vous entendez en sourdine… d’où peuvent-ils venir?

      « Notez bien ceci pour l’examen! »

      Cette phrase attire bien votre attention, mais à peine avez-vous dessiné un petit astérisque que vous voilà reparti vers un monde meilleur ou vers des préoccupations plus grandes. 

      Qu’il soit question de lire de façon efficace, de prendre des notes en cours ou de se préparer aux examens, l’attention et la concentration sont des aptitudes indispensables au bon accomplissement du métier d’étudiante et d'étudiant.

      Quelques trucs pour y arriver

      • Réglez si possible avant le cours les problèmes qui vous tracassent, ou planifiez du temps pour le faire ultérieurement.
      • Arrivez en classe reposé et nourri.
      • Révisez rapidement les notes du cours précédent.
      • Prenez des pauses actives : bougez et étirez-vous.
      • Faites vos lectures préalables et référez-vous au syllabus afin de prévoir les idées principales du cours.
      • En classe ou lors de vos lectures, soyez actif en prenant des notes, en soulignant, etc.
      • Dans votre horaire, alternez les activités intellectuelles, physiques et de détente afin de contrer la fatigue mentale.

      Pour en savoir plus