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Des étudiantes et étudiants de la FMSS à la Simulation de l’ONU

La Simulation de l'ONU s'est tenue à New York, du 8 au 15 avril dernier. Une occasion de s'initier à la politique internationale, de parfaire son anglais et de rencontrer des personnes des quatre coins du monde pour 8 personnes étudiantes de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l'UdeS.

Présentation de l’équipe

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De gauche à droite : Catherine Lapointe (bac en sciences infirmières), Arnaud Dupont (programme recherche en sciences de la santé), Rania Bellaoui (bac en sciences infirmières), Julia Palmisano (bac en droit), Pamela Bittner Deland (bac en sciences infirmières), Justine Belzile (médecine), Alexa Rahem (médecine), Frédérique Nora Youkna (bac en sciences infirmières) et Amina Chekkal (médecine).
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Amina Chekkal, l’instigatrice du projet, et Julia Palmisano étaient les deux « head delegates ». Ce sont elles qui ont formé et préparé l’équipe pour cette aventure.  Ensemble, elles ont pu créer la toute première délégation pour la simulation de l’ONU de la FMSS.

De la santé à la politique internationale

Des sujets politiques, variés et qui ont permis à la délégation de l'UdeS de plonger dans des débats visant à maintenir la paix et la sécurité internationale.

Incursion dans leur aventure.

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150. C'est le nombre approximatif d'heures qu'il a fallu à la délégation de la FMSS pour se préparer à SimONU. Au menu : recherche sur le pays représenté, apprendre à discourir en anglais, approfondir les sujets donnés par l'ONU, comprendre les rudiments de la diplomatie.
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Pendant la simulation, la délégation est divisée en comités, puis en équipes de 2 personnes. Ensemble, ils défendent les intérêts du pays face à deux sujets qui sont présentés par comité.

Au coeur de la Simulation de l'ONU

Le pays représenté : le Yémen

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Rania Bellaoui et Arnaud Dupont forment un des binômes du comité IAEA. Ils défendent deux angles différents du sujet, Rania, pour sa part, souhaite aborder la question du terrorisme. Ils doivent convaincre les autres délégations que ce point doit être discuté dans les enjeux entourant l'Iran et le nucléaire. Une grande importance est accordée à la façon de se présenter : diplomatie, respect et professionnalisme sont au cœur des échanges.
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Arnaud travaille sur son « working paper ». Celui-ci portait sur la mise en place d’une voie de résolution des conflits entre membres au sein de l’ONU.
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Ensuite, pendant 3 jours, les délégations négocient et forment des alliances. L’objectif est de proposer des résolutions qui respectent les autres pays et qui remplissent la mission de l’ONU : le maintien de la paix et la sécurité internationale.
Les résolutions forment le « working paper » qui sera présenté et voté au dernier jour.
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Les séances de l’ONU sont très énergivores. Les discussions s’échelonnent sur 3 jours et peuvent durer près de 12 h par jour!
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Dernière journée : Les délégations ont négocié les résolutions et espèrent qu’elles sont arrivées à un terrain d’entente. C’est le moment de voter si les papiers sont approuvés.
L’implication de la délégation de la FMSS a été soulignée pendant la cérémonie de fermeture. L’équipe s’est vu décerner l’honorable « Delegation Award ». Bravo !
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Alexa Rahem et Justine Belzile ont toutes deux gagné le prix « Best Delegate Award », soulignant l’implication et la diplomatie des personnes auprès des autres délégations. Un honneur qui leur a aussi permis de prononcer un discours à la cérémonie de fermeture.

Les débats démarrent avec l'annonce de l'agenda. Les délégations négocient le sujet qui sera abordé lors des échanges. Dans le comité IAEA, deux sujets sont présentés : l'un à propos de la situation avec le nucléaire iranien et l'autre à propos de la place de l'intelligence artificielle dans le nucléaire. Un seul sujet est retenu : situation avec le nucléaire iranien.

Une expérience qui change la vision du monde

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Ce que l’équipe retient ? Il existe plusieurs façons de s’impliquer dans la société et protéger les acquis de notre société. Que ce soit pour protéger nos droits ou travailler quotidiennement à donner des soins de santé dans le respect de la dignité des gens.

C’est grâce à l’implication des personnes dans un souhait de société meilleure que les changements s’opèrent!