Publications de André Lachance
- Vivre à la ville en Nouvelle-France Libre-Expression
Tout en décrivant l'existence du petit peuple, Vivre à la ville en Nouvelle-France, nous montre comment vivaient les bourgeois et les nobles dans les villes entre 1680 et 1760. L'auteur nous fait découvrir les citadins de Québec, Trois-Rivières et Montréal sous plusieurs aspects: leur environnement, leurs besoins fondamentaux tels se nourrir, se loger, se vêtir, leurs activités sociales et culturelles, leur instruction, leurs loisirs et leur sécurité à l'intérieur des murs.
Écrit dans une langue accessible et abondamment illustré, cet ouvrage est destiné à tous ceux et celles que l'Histoire intéresse.
- La vie est si fragile
À première vue, s'intéresser à la mort violente peut paraître étrange. Mais cette étude n'est pas inspirée par un goût plus ou moins morbide pour les réalités macabres. Vivre comme être humain, c'est vivre en présence de la mort.
La mort est un fait de la vie et c'est ainsi que nous l'avons regardée dans cet ouvrage. Notre but est de découvrir, par le récit des faits divers et d'événements funestes, comment les Estriens et Estriennes de la première moitié du XXe siècle ont vécu ces moments. Avec respect et amour, nous avons voulu porter un regard sur leurs réactions devant la mort, pour mieux percevoir leur vie et leur environnement à l'époque. Car, 'Observer les vivants se comporter face à la mort, c'est aussi prendre mieux connaissance de la civilisation qu'ils bâtissent', écrit le sociologue français, Julien Potel.
- Vivre, aimer et mourir en Nouvelle-France.
Voici un étonnant voyage qui nous permet de mieux connaître les gens qui ont façonné ce pays au fil des jours. À la ville comme à la campagne, nous les découvrons alors qu'ils s'aiment, se marient, donnent naissance à des enfants, lesquels à leur tour grandissent, travaillent, vieillissent et meurent. Comment se déroulait leur existence ? Quelles coutumes, quels usages et quelles approches guidaient leurs gestes ? Voilà ce que révèle ce livre aux pages animées et vibrantes à l'image de la vie qui s'y incarne.Juger et punir en Nouvelle-France Des récits aussi étonnants que savoureux où sont mis en vedette, criminels, justiciers et victimes. Ils nous révèlent un autre volet de la vie quotidienne en Nouvelle-France.Ils sont comme autant de fragments du temps passé où à travers les aventures du bourreau Jacques Élie, de la «maladie du confessionnal» du pauvre Jean-Baptiste, la trop grande audace du faux-monnayeur Nicolas, du beau parleur François dit l'Avocat, du menuisier assasin, ou la vie difficile du petit Cani, nous est racontée la vie de nos ancêtres.Lachance, André L. (2005)
- Robert Pepin, c.1639-1686. Un pionnier sur les toits de Québec au XVII e siècle.
Robert Pepin fait partie de ce petit contingent d’hommes de métier qui ont quitté la Normandie dans l’espoir de trouver un avenir meilleur dans ce pays de forêt au climat rigoureux qu’était la Nouvelle-France aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il débarque à Québec au moment où Louis XIV décide de s’occuper personnellement de la colonie et de fonder une deuxième fois la Nouvelle-France. Compagnon couvreur d’ardoise, son arrivée est accueilli avec empressement par les coloniaux. Établi dans la ville de Québec, Robert Pepin est surtout employé par les communautés religieuses à couvrir leurs toits d’ardoises. Après neuf ans au pays, il épouse une jeune canadienne de 13 ans, Marie Creste, la fille du maître charron, Jean Creste de Beauport. Ce couple fera souche dans le pays. Ils auront 6 enfants dont 4, Jean, Robert, Marie-Rosalie et Louis, leur survivront.
Malgré sa disparition précoce, à l’âge de 47 ans environ, après seulement 24 ans dans la colonie, Robert Pepin réussit à planter ses racines en Amérique du Nord. Ses enfants auront une nombreuse progéniture laquelle essaimera par la suite à travers la Nouvelle-France. De nos jours de nombreux descendants le saluent comme leur ancêtre.
- Séduction, amour et mariages en Nouvelle-France.
Dans Séduction, amour et mariages en Nouvelle-France, l’historien André Lachance nous convie à explorer la face cachée de la vie amoureuse aux XVIIe et XVIIIe siècles : les premières rencontres des jeunes femmes et des jeunes garçons au moment d’une fête, d’une cérémonie religieuse ou, plus simplement, lors de travaux des champs. Dans une langue vivante, il raconte leur badinage, leurs rires, leurs taquineries au vu et au su du voisinage, mais surtout leur conduite plus secrète, les stratagèmes de séduction, comment ils se courtisent et nouent des liens amoureux, puis leur intimité. Rien dans ce livre n’est laissé sous silence : les naissances hors mariage, les unions précipitées et hors normes, la sexualité dans la vie maritale, le contrôle de l’Église et de la société sur les couples.
André Lachance illustre chacun de ces thèmes par des cas particuliers pour nous montrer ce que la société et principalement l’Église d’alors toléraient et ce qu’elles n’admettaient pas.
Ce volume publié chez Libre-Expression est disponible en librairie.
- Délinquants, juges et bourreaux en Nouvelle-France.
Dans Délinquants, juges et bourreaux en Nouvelle-France, André Lachance propose un voyage à travers les archives criminelles de la justice royale de la Nouvelle-France. On y apprend comment et par qui étaient exécutées les condamnations à des peines capitales comme la pendaison et la roue, et à des peines corporelles, tels le fouet, la marque au fer rouge ou le carcan. On y rencontre ceux et celles qui subissaient ces châtiments mais aussi ceux qui les appliquaient.
Au fil de cet ouvrage sur la manière dont la justice criminelle était rendue dans la vallée laurentienne au XVIIe et au XVIIIe siècles, au hasard des récits racontés par les témoins et les accusés, on y découvre l'ordinaire de la vie quotidienne des petites gens, des précaires. On les voit luttant contre la faim, la violence, la haine et surtout l'injustice, dont ils étaients trop souvent victimes.