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CARRIÈRE EN GÉNIE | Atelier de consultation pour employeurs

Concevoir l’avenir en génie, de l'université au marché du travail!

La professeure Nathalie Roy, vice-doyenne à la formation et à l'ÉDI (équité, diversité, inclusion) et professeure titulaire coanimait la rencontre
La professeure Nathalie Roy, vice-doyenne à la formation et à l'ÉDI (équité, diversité, inclusion) et professeure titulaire coanimait la rencontre
Photo : Michel Caron UdeS

Profitant de l’effervescence sur le campus à l’occasion de l’exposition MégaGÉNIALE, le vendredi 2 décembre dernier, des employeurs du milieu de l’ingénierie, la Faculté de génie et le Service des stages et du développement professionnel (SSDP) se sont réunis et ont osé rêver aux ingénieurs et ingénieures du futur. Un gros mandat, mais les personnes participantes ont entamé les discussions avec enthousiasme et sont ressorties de cet avant-midi avec le sentiment du devoir accompli.

Cet atelier de consultation a été tenu avec comme objectif d’améliorer les programmes de la Faculté de génie et les services offerts par le SSDP. Pour ce faire, des conversations sur les forces, les points à améliorer et les compétences techniques des stagiaires de l’UdeS ont été au centre des premières tables de discussions. Un employeur en génie mécanique mentionne que « nos stagiaires ont une attitude professionnelle, maitrisent bien les connaissances de base, apprennent rapidement et sont débrouillardes et débrouillards. Sur ces points, les stages coopératifs font assurément une différence ».

Alain Tremblay et la professeure Nathalie Roy
Alain Tremblay et la professeure Nathalie Roy
Photo : Michel Caron UdeS

Les deuxièmes tables de discussions ont permis aux employeurs d’exprimer leurs attentes et leurs besoins par rapport aux stagiaires de l’Université de Sherbrooke, du processus de sélection jusqu’au travail lui-même.

Ainsi, les ingénieures et ingénieurs de demain devront être des personnes créatives, curieuses, ouvertes d’esprits, elles devront rester humbles, bien se connaître et montrer une sensibilité particulière aux enjeux du développement durable. Dans un futur rapproché, plusieurs défis seront à relever, des défis auxquels les stages et les programmes de la Faculté de génie doivent et devront les préparer.

Le SSDP, on se voit à l’intersection entre le milieu du travail et l’éducation. Cette intersection va devenir notre priorité au courant des prochaines années, pour, justement, être en mesure de parler et essayer d’aider les stagiaires et les employeurs.

Alain Tremblay, directeur général du SSDP


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