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Gala Forces Avenir

Le Fonds Équinox remporte la palme

Le Fonds Équinox, un fonds de placement géré par un groupe d'une trentaine d'étudiantes et d'étudiants de la Faculté d'administration, a remporté la palme dans la catégorie Avenir affaires et vie économique, lors du Gala Forces Avenir, qui s'est tenu le 10 octobre au Marché Bonsecours à Montréal.

Outre le Fonds Équinox, l'Université de Sherbrooke comptait deux autres finalistes au Gala Forces Avenir, soit Anne Saint-Laurent et l'Association de la maîtrise en environnement de l'Université de Sherbrooke. Ils ont tous deux reçu une bourse de 2000 $ pour souligner leurs réalisations.

Sébastien Lemay, Frédéric Lefebvre et Vincent Paquet, qui représentaient l'équipe du Fonds Équinox, ont remporté le trophée dans leur catégorie ainsi qu'une bourse de 4000 $ « Nous sommes très fiers d'avoir gagné, a commenté Sébastien Lemay après l'annonce de la victoire du Fonds Équinox. Mais le simple fait de participer à un tel gala est déjà quelque chose d'extraordinaire. Nous sommes heureux de nous retrouver entourés de futurs acteurs de la société québécoise, de jeunes qui laisseront leur marque dans tous les domaines. »

Le fonds Équinox a été créé en 1997 par trois étudiants en finance de la Faculté d'administration. Il possède maintenant un actif de 65 000 $ entièrement géré par une trentaine d'étudiantes et d'étudiants, dont la majorité étudie en finances. Il permet ainsi aux étudiantes et étudiants d'apprendre à composer avec un domaine en constante fluctuation et de mieux se préparer au milieu du travail.

Le Gala Force Avenir, qui se tenait sous le thème « L'excellence au cœur de l'engagement », a rassemblé près de 500 personnes, dont le Ministre de l'éducation, Sylvain Simard, et la lieutenant-gouverneur du Québec, Lise Thibault, venues applaudir les réalisations d'étudiants exceptionnels provenant de 17 universités québécoises.

C'est pour reconnaître les réalisations et les efforts exceptionnels d'universitaires que le Gala Forces Avenir a été fondé en 1997 par un étudiant engagé, François Grégoire, qui rêvait de voir l'engagement des étudiants universitaires davantage reconnu.