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Projets de recherche

Chaque spécialiste du Département d'histoire conduit des recherches et mène divers projets. Quels événements explorent-elles?

Pour vous donner une idée, voici une liste non exhautive de ces projets.

Chercheur principal : Tristan Landry

Partez à la découverte des lieux de mémoire autochtones du Québec grâce au projet UIESH, qui vise à faire connaître l'histoire autochtone et les lieux qui en sont encore témoins aujourd'hui.

Y ont contribué des étudiantes et des étudiants en histoire de l'Université de Sherbrooke et leur professeur Tristan Landry, en collaboration avec le Comité w8banaki de coordination de la recherche et le Bureau du Ndakina du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki.

Chercheur principal : Maurice Demers

L’arrivée de près de deux mille missionnaires catholiques canadiens en Amérique latine dans les années 1960 a transformé l’Église missionnaire au Québec, les actions des missionnaires s’alignant progressivement sur la Théologie de la libération qui prônait une plus grande justice pour les populations marginalisées et appauvries. Ce projet donne la parole aux missionnaires qui ont œuvré en Amérique latine dans la deuxième moitié du XXe siècle.

Chercheur principal : Benoît Grenier

Dans le cadre d’un programme de recherche intitulé Les persistances du monde seigneurial après 1854 : culture, économie, société, le professeur Benoît Grenier s'intéresse depuis plusieurs années aux persistances du régime seigneurial québécois et à la mémoire de celles-ci. Après avoir consacré une première phase de cette enquête à la question du processus d’abolition et à ses impacts sur le plan économique, il achève actuellement la seconde phase, relative à l’identité et à la mémoire seigneuriales.

Chercheur principal : Tristan Landry

Le professeur Tristan Landry ainsi que ses étudianets et ses étudiants ont implanté un jardin ancestral dans le jardin collectif de l’Université de Sherbrooke, près des résidences E5 et E4. L’objectif est de sensibiliser la population à la valeur mémorielle, gustative et nutritionnelle de certaines espèces végétales ancestrales, de même qu’à l’importance de manger local. Le jardin comprend des espèces cultivées par les Premières Nations, les colons français et les loyalistes, qui ne sont plus cultivées, faute de répondre aux critères de l’industrie agroalimentaire.

En 2020, une section herboristerie a été inaugurée, permettant de valoriser encore davantage les savoirs traditionnels autochtones.

Chercheuse principale : Louise Bienvenue

À travers la parole d’anciens résidants et d’anciens psychéducateurs, le projet retrace l’histoire d’un centre de rééducation unique au Québec qui a fermé ses portes en 1997. Lors de sa fondation dans les années 1940, Boscoville voulait transformer le visage du traitement de la délinquance juvénile. A-t-il réussi son pari? Une trentaine d’individus parmi ceux et celles qui ont vécu de l’intérieur cette expérience « psychoéducative » livrent leur point de vue sur l’institution et son héritage.

Chercheur principal : Léon Robichaud

Le projet Sherbrooke, histoire et patrimoine vise d'abord et avant tout à canaliser les efforts des étudiantes et étudiants du cours HST279 – L'informatique appliquée à l'histoire, lequel fait partie du cheminement du baccalauréat en histoire de l'Université de Sherbrooke. Ce projet propose une chronologie illustrée de l'histoire de Sherbrooke, cinq circuits de visite virtuels et des informations générales complémentaires sur la population et l'espace (tableaux, cartes et graphiques).