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Un balado de la Faculté des lettres et sciences humaines

Les histoires qu’on se raconte sur… les mèmes

Que partagent Boucar Diouf, l’AGEFLESH, Hydro-Québec et la Belgique? Leur humour noue des liens, anime leur communauté et fait passer des messages… Mais comment? Et avec quels effets?
Que partagent Boucar Diouf, l’AGEFLESH, Hydro-Québec et la Belgique? Leur humour noue des liens, anime leur communauté et fait passer des messages… Mais comment? Et avec quels effets?
Photo : Michel Caron - UdeS

En arrivant au Québec pour ses études, Maden s’attend à découvrir de nouvelles expressions et à apprivoiser l’hiver… Mais il ne s’attend pas du tout à ce que ses pairs utilisent autant les mèmes pour commenter leurs cours ou leurs travaux.

Mèmes : contenus multimédias – généralement des images ou des vidéos – accompagnés de légendes humoristiques, qui circulent beaucoup sur les réseaux sociaux

Alors il se lance, lui aussi. Malgré l’humour parfois corrosif de ses mèmes, ils semblent fortifier sa relation avec les autres. Paradoxal, n’est-ce pas? Peut-être pas tant que ça…

Comment l’humour peut-il servir à se lier – ou non – avec d’autres? Quelles responsabilités et questions accompagnent l’usage de l’humour en ligne, pour une organisation étudiante ou une entreprise? Quels effets l’ironie ou le cynisme, assez fréquents dans les mèmes, ont-ils sur nos relations aux autres… et sur la démocratie?

Pour trouver des réponses, Maden pose ses questions à trois spécialistes et à un groupe étudiant de la Faculté des lettres et sciences humaines dans le deuxième épisode du balado Les histoires qu’on se raconte :

  • Annick Lenoir, de l’École de travail social, explique comment utiliser judicieusement l’humour pour faire notre place dans une nouvelle communauté et ce que peuvent nous valoir nos maladresses;
  • Salomé Leuliette et Xavier Bénard partagent les réflexions que leur expérience aux communications de l’AGEFLESH leur a inspirées;
  • Julien Pierre, du Département de communication, précise les enjeux qu’affrontent les entreprises ou les organisations dans leurs communications numériques quand elles préconisent l’humour;
  • Catherine Côté, de l’École de politique appliquée, examine les effets de l’humour, notamment cynique, sur les actions ou l’engagement politiques.

Grâce à ces rencontres, Maden sonde les histoires qu’on se raconte sur… les mèmes.

Il était une fois nos aprioris, nos doutes, nos expériences et toutes les manières dont ils nous influencent, comme individus et comme société. À travers ce balado, une personne étudiante explore ses propres questionnements, dans une approche multidisciplinaire.
Il était une fois... Les histoires qu'on se raconte.


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