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Photoreportage

Du jardin ancestral à la cuisine autochtone

Selon Valérie de la Ronde, lorsque les nations iroquoiennes du Saint-Laurent étaient nomades, elles se déplaçaient là où se trouvait la nourriture. Avec la sédentarité, ces nations ont appris à cultiver, entre autres, le maïs, la courge et les haricots; des plantes complémentaires sur le plan agraire et nutritionnel.
Selon Valérie de la Ronde, lorsque les nations iroquoiennes du Saint-Laurent étaient nomades, elles se déplaçaient là où se trouvait la nourriture. Avec la sédentarité, ces nations ont appris à cultiver, entre autres, le maïs, la courge et les haricots; des plantes complémentaires sur le plan agraire et nutritionnel.
Photo : Michel Caron - Université de Sherbrooke

Dans le cadre du cours Histoire culturelle de l'alimentation offert cet automne par le professeur Tristan Landry, les étudiantes et les étudiants du baccalauréat en histoire ont participé à une visite commentée du jardin ancestral, qui comprend un jardin colonial français et un jardin précolombien, situé sur le Campus principal.

Ils ont découvert par la suite les délices de la cuisine autochtone grâce au savoir-faire de Valérie de la Ronde, invitée pour l'occasion à apprêter des citrouilles algonquines récoltées au jardin. D'origine mohawk, cette dernière a longtemps cultivé la terre et travaillé dans les jardins. Cette activité pédagogique sur le terrain, qui a d'ailleurs fait l'objet d'un photoreportage à voir absolument, a donné lieu à des échanges interculturels d'une grande richesse, rappelant l'apport indéniable des peuples autochtones à notre patrimoine agricole et végétal.


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