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De riches projets en humanités numériques

Des membres du Réseau des humanités numériques en compagnies des personnes étudiantes qui ont participé à l'activité.
Des membres du Réseau des humanités numériques en compagnies des personnes étudiantes qui ont participé à l'activité.

Photo : Fournie

Le Réseau des humanités numériques a récemment organisé un atelier de travail afin de mieux connaître les travaux des personnes étudiantes à la Faculté des lettres et sciences humaines (FLSH) qui s'appuient sur les humanités numériques. Près d'une dizaine d'étudiantes et d'étudiants y ont participé.

En plus d'échanger à propos des divers projets étudiants et des résultats obtenus, l'objectif était aussi de partager les bonnes pratiques et de favoriser le développement de relations professionnelles entre les personnes qui s'intéressent aux humanités numériques.

C’était une première à la FLSH et ce fut tellement intéressant et pertinent, que toutes les personnes présentes ont souhaité voir cet événement revenir chaque année. Je vous annonce donc que la 2e édition aura lieu en mars 2024!

Pre Isabelle Lacroix, vice-doyenne au développement et à l'international et l'une des instigatrices de cette activité

Lors de cet atelier, les participantes et les participants on pu découvrir les travaux de Catherine Lampron, étudiante en histoire (Des centres aux périphéries : utilisation et occupation de l’espace par les personnes esclaves de la Nouvelle-France), Léon Gatien et Jacob Hamel-Mottiez, étudiants en philosophie (L'étude des pratiques journalistiques relatives au témoignage médié : le cas des think tanks), Olivier Chiasson-Losier, étudiant en histoire (Cartographier la criminalité au XVIIIe siècle : possibilités de recherche et défis méthodologiques de travailler avec des procès criminels en histoire numérique), Alexandre Michel, étudiant en politique (Des données pour les villes sur le site Web Perspective Monde), Victoria Candat, étudiante en histoire (Lieux et troubles féminins dans le quartier de la place Maubert : les Parisiennes dans les rapports de police, 1761-1763), Joanie Grenier, étudiante en littérature (La découvrabilité du livre québécois), Dominic Martin, étudiant en histoire (Le défi de géoréférencement du lac aux Loutres, de l’analyse des sources aux SIG) et Sonia Blouin, étudiante en histoire (La spatialisation des réseaux sociaux).

Le Réseau des humanités numériques

Fondé en juin 2017, il vise à démocratiser le numérique dans le développement des savoirs. Ses membres sont issus d’horizons disciplinaires variés. Le Réseau souhaite stimuler l’intérêt pour l’utilisation du numérique dans la recherche et l’enseignement, tant auprès du personnel enseignant que de la population étudiante. Il est à l'origine du développement de la Plateforme en humanités numériques de l'Université de Sherbrooke, une infrastructure qui facilite l’accès à des professionnels de recherche dotés d’une expertise de pointe dans les méthodes et technologies informatiques nécessaires à la réalisation d’un projet en humanités numériques.