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Édition 2024

Découvrez les six finalistes de l'UdeS du concours Délie ta langue!

Finale UdeS 2023.
Finale UdeS 2023.
Photo : Stéphanie Vallières, collaboratrice

Le concours d’éloquence interuniversitaire Délie ta langue! est de retour à l’Université de Sherbrooke pour une troisième année consécutive! Lors de la dernière édition, l’UdeS a obtenu la troisième place à la grande finale à Montréal grâce à la prestation de Jasmine Duplessis qui portait sur l’expression coûter les yeux de la tête.

Découvrez pourquoi ces personnes ont choisi de participer au concours d'éloquence

Henri Fluet-Gendron | Mener une vie de patachon

Henri Fluet-Gendron, génie chimique
Henri Fluet-Gendron, génie chimique


« J’ai choisi de m’inscrire au concours Délie ta langue! pour me positionner face à un enjeu qui me tient à cœur, soit l’absence de valeurs communes. Je crois que c’est une question qui mériterait plus d’attention, dans un contexte de polarisation de l’opinion publique. Je participe également pour des raisons personnelles, soit de me motiver à écrire, de trouver ma voix par l’expression artistique et de développer mes compétences oratoires. »

Laurie Côté Lemay | Être sur le qui-vive

Laurie Côté Lemay, communication appliquée
Laurie Côté Lemay, communication appliquée

« L’aventure a débuté lors d’un cours de communication orale, un cours que j’avais suivi pour me donner un défi. Le concours Délie ta langue! nous avait été présenté et nous avions eu la chance d’entendre les textes des personnes participantes de l’édition qui était en cours. Je suis sortie de la classe avec qu’une pensée en tête : je voulais tenter ma chance lors d’une prochaine édition. »

Franck Tetouom N.L | Être au bout du rouleau

Franck Tatoum, droit-MBA
Franck Tatoum, droit-MBA

« J'ai perçu cette opportunité comme une chance d'approfondir mon analyse sur une thématique qui me tient à cœur : l'escalade du coût de la vie et l'épuisement de nos précieuses ressources humaines. Tout cela, bien entendu, en m'immergeant dans la richesse de la langue française, à travers l'étude de l'expression évocatrice être au bout du rouleau. Ainsi, je m'engage pleinement dans cette aventure, conscient que Délie ta langue! ne se limite pas à une simple compétition, mais représente une occasion de croissance personnelle et de contribution significative à l'évolution de débat de société. »

Raphaël Paillé | Qui ne dit mot consent

Raphaël Paillé, droit
Raphaël Paillé, droit

« J’ai décidé de participer au concours d’éloquence Délie ta langue!, car j’y ai vu une belle opportunité de développer mes capacités. L’art oratoire et la rédaction sont deux aspects importants de mon domaine d’étude et je trouve que ce concours représente un beau défi qui me poussera à me surpasser en ces matières. »

Wadlonde Louis | Ventre affamé n'a point d'oreilles

Wadlonde Louis, communication appliquée
Wadlonde Louis, communication appliquée

« J’aime écrire, lire et écouter des balados. Cette année, je participe à Délie ta langue! en utilisant l'enjeu social de la famine parce qu'à force d'entendre parler de ce sujet, les gens peuvent en devenir indifférents ou avoir la pensée qu'il ne les concerne pas. Toutefois, ce n'est pas le cas. Avec l'inflation et tout ce qui s'est passé dans les dernières années, on se rend compte que cela nous touche plus qu'on le pense, même au Québec. »

Aya Bellite | Apprendre par cœur

Aya Bellite, droit
Aya Bellite, droit

« Je participe au concours Délie ta langue! dans l'objectif de pouvoir développer mes capacités à mieux communiquer à l'oral, mais également afin de pouvoir parler d'un sujet qui me tient à cœur et de pouvoir le faire d'une belle façon. »

À la fin des activités d’accompagnement, une personne sera choisie pour représenter l’UdeS à la finale locale qui aura lieu le 12 février au Carrefour de l'information.

NOUVEAU : Prendre la parole en public (atelier ouvert à l'ensemble de la communauté UdeS)

Prendre la parole en public est source d’inconfort pour plusieurs, les questions affluent :
Quoi faire avec mes mains?
Comment améliorer mon articulation?
Devrais-je me déplacer ou rester statique?
Y a-t-il un débit idéal?
Où regarder?

Cet atelier vous aidera à adopter la posture d’un orateur ou d’une oratrice dynamique, en contrôle de son message et capable de se connecter en quelques secondes avec son auditoire.

Quand : le jeudi 11 janvier de 12 h à 12 h 45
 : la Zone (E1-0001-0005), pavillon de la vie étudiante


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