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Apocalypscience : un 10e Forum de la recherche réussi pour le RECSUS

Les conférenciers et l'équipe organisatrice du Forum du RECSUS 2017.
Les conférenciers et l'équipe organisatrice du Forum du RECSUS 2017.

Photo : Fournie par le RECSUS

Traiter d’énergie, de santé, de cinéma, d’entrepreneuriat ou encore de… l’apocalypse, l’originalité des sujets est toujours présente au Forum de la recherche du regroupement des étudiants chercheurs en sciences de l’Université de Sherbrooke (RECSUS).

Le Forum, qui fête maintenant ses 10 ans, est une journée où les membres de différents domaines scientifiques ouvrent leurs horizons sur d’autres façons d’aborder la science.  « C'est la journée où il nous est permis de rêver en se laissant voyager parmi les découvertes étonnantes qui se font tout autour de nous, commente Joannie Connell, présidente du RECSUS. Le Forum devient donc une excellente occasion d'ouvrir son esprit et de se questionner quant à l'influence de notre propre domaine scientifique sur les autres sciences. »

Une salle presque comble pour le Forum du RECSUS 2017.
Une salle presque comble pour le Forum du RECSUS 2017.

Photo : Fournie par le RECSUS

Les présentateurs de l’édition 2017 présentaient divers sujets en lien avec la fin du monde, l’apocalypse. Professeur en biologie à l'Université du Québec à Trois-Rivières, Emmanuel Milot a d’abord discuté de l’évolution biologique des humains. Par la suite, David Lafrenière, professeur en Physique à l'Université de Montréal a présenté la fin du monde d’un point de vue de l’astrophysique. En après-midi, Charles-Alexandre Bédard, étudiant au doctorat en physique à l'Université de Montréal, a exposé les attentes envers l’informatique quantique. Le forum s’est conclu avec la présentation d’Isabelle Lacroix, professeur à l'École de politique appliquée de l'Université de Sherbrooke qui a parlé des représentations politiques dans la science-fiction.

« Depuis maintenant 3 ans, le Forum de la recherche de permet de sortir du cadre en intégrant un conférencier provenant d'un domaine qui n’est pas directement associé aux sciences pures, ajoute Joannie Connell. Par exemple, nous avons pu avoir cette année une discussion très intéressante grâce à Pre Lacroix. »

Le doyen de la Faculté des sciences, Pr Serge Jandl, apprécie l’apport des étudiantes et étudiants chercheurs dans la vie facultaire : «  les membres du  RECSUS sont au cœur du développement de nos cycles supérieurs et de leur succès, je les félicite pour leurs initiatives et pour leurs efforts prometteurs de brillants succès à l’avenir. »

Créé en 1983, le RECSUS compte près de 450 membres inscrits à la Faculté des sciences en maîtrise, au doctorat et post-doctorat.