Inauguration de la Galerie du rayonnement

Vendredi après-midi, la Faculté de génie est devenue la troisième sur les neufs facultés de l’UdeS à dévoiler sa Galerie du rayonnement, qui met en valeur ses treize ambassadeurs nommés lors du Gala du rayonnement depuis 1995, à l’exception de 1998.

Huit lauréats étaient au rendez-vous, dont le tout premier, Paul Lambert, qui n’a pas caché sa fierté d’être présent pour l’événement. « Nous faisons partie des premiers privilégiés. S’il n’y avait pas eu la Faculté de génie à l’époque, je ne serais jamais devenu ingénieur!, s’est-il exclamé. Je venais d’une petite famille de Magog et je n’aurais pas pu faire de grosses études si l’UdeS n’avait pas existé dans ma région. » Yves Filion, lauréat de 1997 et membre de la 2e cohorte des diplômés du régime coopératif en 1972, s’est dit honoré : « Ce mur est aussi une source d’inspiration pour les étudiants et futurs ingénieurs. Il leur donne des modèles qui ont à cœur leur rôle social dans l’évolution de la société. »

Pour Alexandra Shoucri, étudiante en génie biotechnologique de la 53e promotion et vice-présidente aux affaires universitaires de l’Association générale des étudiants de génie, c’est très inspirant : «C’est fantastique de voir la solidarité que ces diplômés ont pour leur faculté et leur institution : ils ont reçu alors ils redonnent. Ils participent ainsi à l’épanouissement de l’UdeS et de chaque personne », explique celle qui souhaite qu’une première ambassadrice se joigne à ses prédécesseurs dans un avenir proche, ce qui ne saurait tarder.