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Marché du travail

Au Québec, les physiciens et physiciennes œuvrent principalement dans la recherche et l'enseignement. La recherche au sein d'entreprises prend de plus en plus d'importance, étant donné le développement rapide des nouvelles technologies et la formation particulièrement favorable des physiciens et physiciennes à cet égard.

L'Association canadienne des physiciens et physiciennes (ACP) a produit en 2019 plusieurs vidéos de membres sur leur carrière, dont une en français.

Statistiques provenant du marché américain

Aux États-Unis, l’AIP (Americain Institute of Physics) produit des enquêtes sur le marché du travail assez fréquemment avec un faible pourcentage d'erreur. Ainsi au printemps 2016, cet institut recherchait les salaires offerts aux récents bacheliers sur les campus selon leur discipline par les recruteurs. La physique se classait au troisième rang, derrière l’informatique et le génie aérospatial. La physique devançait les autres domaines scientifiques, l’administration, les sciences humaines et l’éducation. En 2017, l'enquête divulgue les domaines dans le secteur privé où les nouveaux bacheliers en physique se trouvaient un emploi. À l'automne 2016, retracez ce que font les bacheliers de 2013 et 2014. L’AIP enquêtait sur le premier emploi des nouveaux bacheliers et bachelières en physique de 2013 et 2014 d'après le secteur d’activités de l’employeur. Celui des hautes technologies offrait, de loin, les meilleures conditions salariales.

Voici un lien vers l’AIP sur différents sondages concernant le marché du travail de 2011 à 2017. Cliquez sur l'image qui vous intéresse pour voir les détails.

Enquête sur les diplômés

En octobre 2017 nous avons terminé une recherche faite sur internet et les réseaux sociaux. Elle a permis de trouver ce qu'ont fait nos diplômés et diplômées après leurs études. Lisez nos sections « Après le bac... », « Après la maîtrise... » et « Après le doctorat... ».

Technologies et théories émergentes

Nos finissants et finissantes peuvent appliquer, expérimenter et développer les technologies et théories émergentes, ce qui représente un atout majeur dans certains secteurs d’activités. Au baccalauréat, ils ont la possibilité de se spécialiser en astrophysique et relativité, en physique et information quantiques, en physique mathématique et calcul scientifique, en matériaux et nanotechnologies, en physique médicale, ou d’autres domaines par le biais de projet spécialisé. Aux études supérieures, la spécialisation se fera surtout en information ou matériaux quantiques.