Compétition nationale de simulation boursière
Deux premières places pour l'UdeS
Étudiant à la maîtrise en administration, Maxime Doyon a été couronné meilleur courtier alors que son équipe a raflé la première position de la catégorie meilleure équipe à l'occasion de la simulation boursière interuniversitaire canadienne qui se tenait le 20 mars au Complexe Desjardins.
La compétition, organisée par la Société des relations d'affaires HEC Montréal, rassemblait quelque 400 participants provenant de 18 universités canadiennes. Les équipes commençaient la simulation avec un portefeuille de 200 000 $ qu'elles ont tenté de faire fructifier. Répartie sur une année de transactions, la simulation durait trois heures. Les joueurs ont ainsi acheté ou vendu des actions choisies parmi dix compagnies fictives.
Le classement final a été établi en fonction de la valeur totale du portefeuille de chaque équipe. Ainsi, l'équipe de Sherbrooke a remporté la première position avec une moyenne de 785 839 $ par portefeuille. Quant à lui, l'étudiant Maxime Doyon a été couronné meilleur courtier avec un remarquable portefeuille de 1 380 824 $. L'équipe s'est divisée 2000 $ en prix.
«Je suis fier d'avoir remporté ce titre dans le cadre de la plus importante compétition canadienne en simulation boursière. Un bon esprit d'analyse et une capacité à transiger rapidement sont essentiels afin d'exceller dans ce type d'exercice», indique Maxime Doyon.
Cette victoire s'ajoute aux nombreux prix que l'Université de Sherbrooke a remporté dans le domaine de la finance de marché. En février dernier, par exemple, une équipe de l'UdeS s'est classée première lors de la Rotman International Trading Competition à Toronto, la plus importante compétition de simulation boursière à l'échelle internationale.
L'Université de Sherbrooke est la première au Canada, et l'une des rares au monde, à offrir une formation intégrée couvrant tout le processus d'investissement. De surcroît, en finance, l'Université de Sherbrooke se classe parmi les trois meilleures universités au monde et a reçu le prix de la relève 2002 au Québec.