Prix OTTIAQ 2012
Des étudiants en traduction professionnelle se distinguent
L’Ordre des traducteurs, terminologues et interprètes agréés du Québec (OTTIAQ) a remis à Ghislaine Lavertu, récemment diplômée du baccalauréat en traduction professionnelle de l’Université de Sherbrooke, un prix Excellence 2012. Le prix Relève a, quant à lui, été remis à Stéphan Demers, qui entame sa troisième année en traduction professionnelle à l’UdeS.
Pour la responsable de ce programme, Héloïse Duhaime, ces prix viennent faciliter le passage des études à la carrière. « Être membre de l’OTTIAQ, participer à son congrès et s’engager dans une démarche de mentorat sont autant de manières d’apprivoiser le milieu et d’y trouver sa place, précise-t-elle. Les prix offrent tout ça, le prestige en plus. »
Le prix Excellence est décerné à la finissante ou au finissant présentant la meilleure moyenne cumulative au 15 janvier de l’année universitaire en cours. Ce prix est constitué d’un remboursement de 500$ des frais liés au programme de mentorat de l’OTTIAQ.
Le prix Relève est décerné à l’étudiant de deuxième année qui a obtenu la meilleure moyenne cumulative de la cohorte au terme des 45 premiers crédits du programme. Ce prix est constitué de l’inscription au Congrès de l’Ordre et de l’inscription à l’Ordre à titre d’étudiant pour une année.
Stéphan Demers a reçu le prix Relève lors du congrès annuel de l’OTTIAQ, qui se déroulait à Montréal le 23 novembre dernier. Fait à noter, 23 étudiants de l’Université de Sherbrooke ont participé avec lui à ce congrès grâce à des bourses remises par la Faculté des lettres et sciences humaines en vertu du Programme de renforcement du secteur langagier au Canada.
Quant à Ghislaine Lavertu, elle recevra officiellement le prix Excellence 2012 lors du cocktail du Nouvel An de l’OTTIAQ en janvier prochain. « Ces prix sont offerts aux meilleurs étudiants de cinq universités québécoises dont le programme en traduction mène au titre de traducteur agréé, explique Héloïse Duhaime. Lorsque nous avons mis en place le baccalauréat à l'Université de Sherbrooke, nous voulions qu’il soit complet et lié à la réalité professionnelle du traducteur. C’est pour nous une grande fierté de voir l’excellence de nos étudiants publiquement reconnue par l’OTTIAQ. »