Grande Campagne UdeS
Lumière sur la coprésidence facultaire : Pierre Marcoux
Photo : UdeS
Dans le cadre de sa Grande Campagne de financement, l’Université de Sherbrooke est fière de pouvoir compter sur l’appui de coprésidents facultaires qui rayonnent dans leur communauté. Ces bâtisseurs expriment leur attachement à l’établissement par leur engagement. Avec vous, ils choisissent de changer l’avenir.
Découvrons la vision philanthropique du coprésident de la Faculté des lettres et sciences humaines, Pierre Marcoux, et les liens qui l’unissent à l’UdeS.
Originaire de Montréal, il choisit d’étudier en théologie et en communication à l’UdeS. «Je suis venu à Sherbrooke pour son programme que je trouvais tout sauf dogmatique. Mon but était d’aller en journalisme par la suite. Alors une mineure en communication faisait du sens et la majeure en théologie m’a permis, par ses cours de sociologie, de psychologie et de théologie, de mieux comprendre l’humain», explique celui qui a obtenu son baccalauréat de l’UdeS en 1996 avant de poursuivre ses études à Chicago, aux États-Unis, où il décroche sa maîtrise en journalisme avec une concentration en gestion des médias.
Entre 1997 et 2000, Pierre Marcoux est journaliste pour l'agence de presse Bloomberg News à Washington, puis au Hamilton Spectator, en Ontario, avant de revenir au Québec et d’écrire pour le journal Les Affaires, un produit de l’entreprise montréalaise Transcontinental, fondée par son père Rémi Marcoux. Pendant près de 20 ans, il évolue dans cette entreprise qui se spécialise maintenant dans l'emballage, l'impression, et l'édition.
En 2019, il fonde Groupe Contex et fait l'acquisition de marques phares spécialisées telles que Les Affaires, Contech bâtiment, Avantage et Benefits Canada de TC Transcontinental. Au sortir de la pandémie, Contex poursuit sa croissance en faisant les acquisitions de L’Événement Carrières, INEO et Formations Infopresse. L’entreprise, qui évolue dans le monde de l’événementiel et des médias, compte maintenant plus d’une centaine d’employés.
Quand il est question de philanthropie, ses parents, toujours très impliqués dans leur communauté, sont un exemple pour Pierre Marcoux. Sa mère a donné beaucoup de son temps à titre de bénévole opérationnelle et membre de conseils d’administration d’organismes sans but lucratif. Et malgré un agenda ultra chargé, son père a pris le temps de redonner à la société, notamment par son engagement à long terme avec Centraide.
«À cause des limites budgétaires et de certaines priorités conflictuelles, les différents paliers de gouvernement ne peuvent pas combler tous les besoins de la société. En ce sens, la philanthropie joue un rôle vital en s’attaquant à des problèmes spécifiques», souligne Pierre Marcoux, ajoutant que si elle est bien organisée, la philanthropie peut être très novatrice en abordant des problèmes importants d’une manière originale et efficace.
La philanthropie est synonyme d’humanité et de relations harmonieuses entre les membres d’une même communauté, selon Pierre Marcoux.
Une société où les inégalités sont moins présentes est une société où il y a moins de division et de tension et davantage de stabilité, de sentiment d’appartenance et d’inclusion. La philanthropie sert à prendre soin des gens autour de nous et à améliorer les liens entre les individus.
L’homme d’affaires a accepté de s’associer à la Grande campagne de l’UdeS parce qu’elle permettra de financer plusieurs initiatives qui, sinon, n’auraient pas vu le jour. «Les projets qui sont mis de l’avant sont vraiment inspirants et actuels. On parle de changements climatiques, de diversité dans la société, de soins de santé personnalisés, de transformations technologiques au service de l’humain. Ce sont des axes porteurs d’espoirs pour l’avenir en renforçant le tissu social de la communauté dans laquelle on vit.»
Pierre Marcoux croit aussi en l’importance d’avoir des établissements universitaires de qualité en région et il admire la capacité de l’UdeS à s’ancrer dans son milieu par ses programmes coopératifs. «Les étudiants peuvent comprendre le marché et le corps professoral demeure branché sur le terrain tout en développant le volet recherche. Je crois que l’équilibre théorique-pratique est optimal.»
Son père a souvent répété sa volonté de laisser les choses qu’il touchait en meilleur état qu’il les avait trouvées. Pierre Marcoux garde cette idée en tête en tentant, chaque jour, d’avoir une influence positive sur son entourage et d’améliorer les conditions de son environnement.
- Président de Groupe Contex inc.
- Ambassadeur 2013 et diplômé de la Faculté de théologie et d’études religieuses
- Baccalauréat en théologie, mineure en communications, 1996
