Afin que le rêve devienne réalité!

Cette année, La Fondation de l'Université et la Faculté d'éducation ont récompensé 49 lauréates et lauréats en leur attribuant plus de 92 000 $ en bourses. L'événement a également permis de souligner l'excellence de plus de 30 étudiantes et étudiants des cycles supérieurs qui ont reçu, au cours de l'année, des bourses provenant de différents organismes subventionnaires.

Cette cérémonie conjointe de remise de bourses était une première pour la nouvelle doyenne de la Faculté d'éducation, Colette Deaudelin : «J'ai grandement apprécié cette soirée, car en discutant avec les récipiendaires des bourses que nous avons remises grâce aux dons de personnes ou d'entreprises, j'ai pu constater que même des sommes qui pourraient être considérées comme modestes peuvent faire une différence pour une étudiante ou un étudiant qui ne dispose que de maigres revenus.»

Selon la doyenne, les bourses sont très importantes puisqu'elles soutiennent une formation professionnelle qui se déroulera dans de meilleures conditions, en plus de faciliter la réalisation de recherches de maîtrise ou de doctorat dont les résultats pourront contribuer à résoudre divers problèmes que connaît l'éducation.

«Je ne peux qu'encourager les diplômés à donner à la Faculté d'éducation qui les a vus se développer professionnellement pendant leurs études de 1^er, 2^e ou 3^e cycle, dit-elle. Vous savez, j'ai un rêve, une idée un peu folle… Si tous nos diplômés donnaient ne serait-ce que 15 $ par année, la Faculté pourrait ainsi retourner près d'un demi-million de dollars en bourses et réaliser des projets soutenant nos programmes d'études ainsi que les étudiantes et étudiants qui s'y inscrivent. Vous pouvez nous aider à réaliser ce rêve!»

De son côté, François Dubé, directeur général de La Fondation de l'Université, apprécie ces événements pour les rencontres qu'elles permettent : «Les remises de bourses sont des moments privilégiés pour rencontrer et connaître les donatrices et donateurs qui contribuent grandement au succès de nos futurs diplômés. Ces bienfaiteurs sont d'ailleurs tout aussi engagés que les étudiantes et étudiants qu'ils encouragent.»