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Retrouvailles des diplômés du MBA, promotion 1974

« Un hommage extraordinaire à l’UdeS! »

Le comité organisateur : Roger Langlais, Gilles Coulombe, Pierre Laflamme, Gaétan Lavoie, Pierre Cholette et Martiel Prud'homme.
Le comité organisateur : Roger Langlais, Gilles Coulombe, Pierre Laflamme, Gaétan Lavoie, Pierre Cholette et Martiel Prud'homme.

C’est par cette phrase riche de sens que Gaétan Lavoie, leader du comité organisateur des retrouvailles des diplômés de la promotion 1974 du MBA de l’Université de Sherbrooke, a résumé l’événement qui s’est tenu le 27 novembre dernier à Montréal.

Le comité, également formé de Pierre Cholette, Gilles Coulombe, Pierre Laflamme, Gaétan Lavoie, Roger Langlais et Martial Prud’homme, avait tout mis en œuvre pour que les 25 camarades de classe présents sur les 38 du MBA (quatre sont malheureusement décédés) revivent les meilleurs souvenirs de leur passage sur le Campus principal de l’UdeS.

Un attachement certain à l’Université

Dans le lobby et la salle du «Bistro» de l’Hôtel Gouverneur Place Dupuis où se tenaient les retrouvailles, des banderoles et des pancartes à l’effigie de l’UdeS accueillaient les participants, afin de les mettre dans l’ambiance. À leur arrivée dans la salle, chacun recevait une cocarde de l’UdeS avec leur nom et leur photo originale (1974) au verso.

Durant la soirée, un diaporama des photos de l’album de finissants de 1974, d’autres des diverses activités marquant leur passage sur le campus ainsi que celles des retrouvailles qui se sont tenues en 1984 (24 participants), en 1994 (une dizaine de participants) et en 2004 (19 participants) tournait en boucle. Chaque personne présente est d’ailleurs repartie avec tous ces portraits souvenirs et la liste des professeurs de 1974.

Aux dires de Roger Langlais, « les anciens ont été traités comme s’ils arrivaient à la convention des ligues majeures! » Et leurs commentaires furent élogieux. « Les participants étaient heureux comme des rois et remercient avec fierté l’Université de Sherbrooke. Les objets promotionnels à l'effigie de l’UdeS, donnés par le Service des relations avec les diplômés et diplômées et par Louis Côté, directeur du MBA et professeur à la Faculté d’administration, ont particulièrement été appréciés comme souvenir de leur alma mater.

« De plus, les participants ont apprécié le soutien de l'Association des MBA du Québec (AMBAQ) et ont surtout été honorés de la présence de son directeur général, monsieur Jean-Guy Renaud MBA », raconte Gilles Coulombe.

 « Un  GROS MERCI à nos deux partenaires (UdeS et AMBAQ) pour leur généreuse contribution pour le cocktail dînatoire. Nul doute, nos retrouvailles des 35 ans ont connu un succès formidable grâce à eux! », affirme Pierre Laflamme.

Un groupe de joyeux lurons

Parmi les participants, Patrick Monier et Didier Régnier étaient venus expressément de France pour l’occasion. D’autres n’ont malheureusement pas pu se présenter pour cause de maladie. « Quelques-uns se sont vu refuser leur motivation d’absence par le Club des langues sales, cette société secrète de l’époque dont il est impossible de connaître les membres sauf le président "Pierre de Grandpré" absent pour maladie!», rigole monsieur Pierre Cholette, faisant ainsi allusion aux habitués des partys, ces étudiants performants travaillant toute une nuit pour livrer un excellent cas au début du cours et briller par leur absence pour aller dormir! »

Par une banderole commémorative, un hommage tout spécial a également été rendu à Jacques Archambault, Gilles P. Coulombe, Léo Leduc et Jean Romano, aujourd’hui décédés.

« À l’évidence, la soirée, qui s’est prolongée jusqu’aux petites heures du matin, fut fort réussie. Au fil des ans et des retrouvailles antérieures, on a vu évoluer les gens. Certains ne changent pas, d’autres sont difficilement reconnaissables, mais tous étaient très contents d’être là. On a échangé sur nos carrières, nos expériences de vie, nos bons et mauvais coups sur la planète… On a ainsi pu alimenter les archives du Club des langues sales, raconte encore Martial Prud'homme. Mes confrères ont tous voté pour une autre rencontre possiblement l’an prochain chez Louis Rousseau. À suivre! »


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