Un balado de la Faculté des lettres et sciences humaines
Les histoires qu’on se raconte sur… les wokes
Quand il parle du sujet de sa maîtrise, Maden opte souvent pour la formule la plus courte. Il dit qu’il travaille sur le wokisme. Si la formule est imparfaite, elle fait généralement mouche : l’intérêt est piqué, les questions abondent.
Mais voilà… Maden lui-même hésite : qui sont les wokes? Quelles sont leurs revendications? Comment leur militantisme s’inscrit-il dans ce qui le précède, au Québec? Comment devient-on woke? Et pourquoi?
Pour trouver des réponses, Maden pose ses questions à trois spécialistes et à un groupe étudiant de la Faculté des lettres et sciences humaines dans le premier épisode du balado Les histoires qu’on se raconte :
- Nadine Vincent, du Département de communication, décortique les sens et les usages du mot woke;
- Louise Bienvenue, du Département d’histoire, trace un portrait des luttes sociales québécoises et leurs liens avec les revendications actuelles;
- Les étudiantes et étudiants du cours TRS304 – Analyse du social et des problèmes sociaux, donné par le professeur Jacques Caillouette, de l’École de travail social, témoignent de leurs perceptions et expériences;
- Jean Descôteaux, du Département de psychologie, expose les aspects de notre personnalité qui influencent notre comportement, afin que Maden tisse des liens potentiels entre eux et notre engagement militant.
Grâce à ces rencontres, Maden sonde les histoires qu’on se raconte sur… les wokes.
Il était une fois nos aprioris, nos doutes, nos expériences et toutes les manières dont ils nous influencent, comme individus et comme société. À travers ce balado, une personne étudiante explore ses propres questionnements, dans une approche multidisciplinaire.
Il était une fois... Les histoires qu'on se raconte.