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Portrait de Julie Noël

Accompagner les mères en difficulté familiale

Julie Noël, professeure adjointe à l'École de travail social
Julie Noël, professeure adjointe à l'École de travail social
Photo : UdeS

Julie Noël, professeure à l’École de travail social de la Faculté des lettres et sciences humaines, souhaite mettre à profit ses travaux de recherche afin de bonifier les interventions réalisées auprès des familles en situation de vulnérabilité, particulièrement lorsqu’il s’agit de mères en situation de précarité.

Avant d’intégrer le milieu universitaire, Julie a travaillé durant près de 20 ans au sein d’organismes communautaires. Au cours de sa carrière d’intervenante, professeure Noël a réalisé qu’elle avait un manque de connaissance concernant l’expérience des mères d’enfants placés par la protection de la jeunesse et avait un besoin de découvrir des pistes d’intervention adaptées à leur réalité.

J’ai rencontré beaucoup de femmes au courant de ma carrière et je me suis rendu compte que, souvent, on avait peu de moyens pour les accompagner.

Julie Noël, professeure adjointe à l’École de travail social

La chercheuse s’intéresse notamment aux mères ayant perdu la garde de leur enfant. Malheureusement, celles-ci sont souvent jugées et stigmatisées. Elle a d’ailleurs remarqué qu’il y a peu d’aide spécialisée pour guider ces femmes à continuer d’être mère lorsqu’elles perdent la garde de l’enfant. La spécialiste souhaiterait travailler sur un projet afin de leur venir en aide.

De plus, elle croit qu’il y a une possibilité de réfléchir en amont pour diminuer et éviter les situations où les enfants vivent de la maltraitance et doivent être séparés de leur mère. Elle voudrait collaborer avec des organisations prêtes à guider et accompagner les mères en situation de vulnérabilité.

Grâce à ses années d’expérience comme intervenante, elle s’est fait des contacts et a rencontré les bonnes personnes afin de créer des partenariats innovants. Ceux-ci lui ont permis d’aller beaucoup plus loin dans ses projets, notamment avec l’aide de subventions à la recherche partenariale.

« Développer des projets en partenariats, ce n’est pas un souci. L’enjeu, c’est toujours la recherche de financement, et le GPA est très bénéfique pour moi dans ce champ. », ajoute-t-elle.

Ce portrait de chercheuse vous inspire? Contactez le Groupe de partenariats d’affaires (GPA) pour en savoir plus sur les occasions de recherche partenariale. 


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