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Bourses postdoctorales Claire-Deschênes

Une bourse, un nom, une rencontre, un avenir

Dans l'ordre habituel : Audrey Anne Blanchet, coordonnatrice EDI; Ilaria Rubino, génie biotechnologique; Wen Ma, génie chimique; Leyla Amiri, génie mécanique; Adina Penchea, génie robotique; Claire Deschênes; Vanessa Di Battista, génie civil; Gwenaëlle Hamon, génie électrique; Pre Nathalie Roy, vice-doyenne à la formation et à l'EDI; et Pre Eve Langelier, titulaire de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie (Qc).
Dans l'ordre habituel : Audrey Anne Blanchet, coordonnatrice EDI; Ilaria Rubino, génie biotechnologique; Wen Ma, génie chimique; Leyla Amiri, génie mécanique; Adina Penchea, génie robotique; Claire Deschênes; Vanessa Di Battista, génie civil; Gwenaëlle Hamon, génie électrique; Pre Nathalie Roy, vice-doyenne à la formation et à l'EDI; et Pre Eve Langelier, titulaire de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie (Qc).
Photo : UdeS - Michel Caron

Changement de province pour certaines, changement de pays pour d’autres, une famille à déraciner, une langue à apprivoiser. Les six premières boursières Claire-Deschênes, actuellement toutes actives à la Faculté de génie, complètent en ce moment leur postdoctorat ou viennent tout juste d’entamer leur périple professoral. Déjà, elles ont accompli énormément sur les plans personnels et professionnels. Et c’est justement pour souligner ces réalisations qu’une rencontre privée a été organisée – le 8 mars, non fortuitement – entre elles et notre docteure d’honneur, celle qui a humblement et significativement prêté son nom aux bourses : la professeure émérite Claire Deschênes.

Elles ont notamment échangé sur leurs parcours scolaires respectifs et leurs ambitions professionnelles puis discuté des défis qu'entraîne une nouvelle carrière de professeure. Mme Deschênes leur a partagé des bribes de son histoire, de ses débuts sur un campus jusqu’à la fin de sa carrière de professeure à l’Université Laval, en passant par des récits de vie personnelle qui ont eu un impact sur le déroulement de sa carrière. De leur côté, les boursières ont témoigné de la persévérance et de la résilience qui les ont menées jusqu’à l’Université de Sherbrooke. Unanimement, elles ont manifesté leur reconnaissance envers Mmes Deschênes, qui représente un modèle d’inspiration significatif pour chacune d’entre elles.

Je suis un peu émotive, j'avoue. C’était la première fois que tout le monde se rencontrait, et de voir toutes ces nouvelles professeures partager leurs espoirs pour changer les choses, c’était très significatif pour moi. C’était vraiment une belle rencontre. Désormais, l’avenir leur appartient.

Professeure Nathalie Roy, vice-doyenne à la formation et à l’EDI

Ce fut vraiment une rencontre des plus sympathiques et chaleureuses. On apprend tellement les unes des autres. J'ai compris aussi à quel point ces jeunes femmes représentent la continuité, la continuité pour porter à leur tour les espoirs de toutes et tous, que ce soit dans le domaine de l'énergie renouvelable, de l'environnement ou des soins à la population. Le relais est en bonnes mains! Je suis vraiment très heureuse de prêter mon nom à ces bourses et, surtout, très fière d'elles!

Professeure émérite Claire Deschênes, docteure d’honneur de la Faculté de génie

Rangée du haut : Leyla Amiri, génie mécanique; Vanessa Di Battista, génie civil; Gwenaëlle Hamon, génie électrique. Rangée du bas : Wen Ma, génie chimique; Adina Penchea, génie robotique; Ilaria Rubino, génie biotechnologique
Rangée du haut : Leyla Amiri, génie mécanique; Vanessa Di Battista, génie civil; Gwenaëlle Hamon, génie électrique. Rangée du bas : Wen Ma, génie chimique; Adina Penchea, génie robotique; Ilaria Rubino, génie biotechnologique
Photo : UdeS

Remise d'attestations

L'événement était l'occasion rêvée pour une remise en bonne et due forme d'attestations aux six bénéficiaires des bourses, événement que l'on voudrait voir répéter, avec quatre autres bourses à venir pour lesquelles des entrevues sont en cours.


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