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«Mobilité, réseaux et résilience : le cas des familles immigrantes et réfugiées au Québec»

Michèle Vatz-Laaroussi lance son deuxième livre

Que se passe-t-il une fois que les migrants sont arrivés au Québec, au Canada? Pourquoi décident-ils de rester, ou non, à un endroit? La mobilité est-elle un problème social ou un droit? Ces questions ont été à l'origine des réflexions de Michèle Vatz-Laaroussi, professeure en service social et spécialiste de l'immigration régionale.

Le fruit de son travail a été lancé, mardi soir à Sherbrooke : «Mobilité, réseaux et résilience : le cas des familles immigrantes et réfugiées au Québec». C'est le deuxième ouvrage de Michèle Vatz-Laaroussi. Elle y analyse l'importance des dynamiques familiales, des réseaux et de l'histoire migratoire dans les rapports entretenus avec les territoires, les frontières et la mobilité, tant géographique que sociale.

Assistante sociale et titulaire d'un doctorat en psychologie culturelle en France, Michèle Vatz Laaroussi est professeure au Département de service social depuis 1992. Ses recherches portent sur les familles immigrantes et réfugiées au Canada, sur les réseaux transnationaux des immigrants installés dans plusieurs régions du monde, sur l'immigration en région et sur l'intervention interculturelle.

Elle est responsable du Réseau international de recherche sur l'immigration en dehors des grands centres et s'intéresse particulièrement aux mobilités familiales et à l'accueil des immigrants dans les petites localités.


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