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Le traitement des anglicismes critiqués

Au Québec, pour diverses raisons, dont des raisons historiques, les emprunts à l’anglais sont généralement mal perçus socialement. Si certains d’entre eux réussissent à s’intégrer à l’usage standard, ce n’est pas le cas du plus grand nombre dont l’emploi est critiqué. Malgré ces critiques, un certain nombre d’emprunts à l’anglais se maintiennent dans l’usage, non seulement à l’oral, mais aussi à l’écrit. Ont essentiellement été retenus ceux qui sont largement répandus dans la presse québécoise.

Dans un souci pédagogique, on n’accorde qu’un traitement partiel aux emplois qui sont très largement critiqués : leur mention permet d’introduire les emplois standards qui peuvent leur être substitués. Dans le cas des emprunts à l’anglais qui ne sont pas perçus de la même façon au Québec et en France, Usito précise dans quel contexte ces emprunts sont critiqués.


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