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Portrait de Chantal Viscogliosi

Se sensibiliser aux besoins des différents milieux de la santé

Chantal Viscogliosi, professeure à l’École de réadaptation
Chantal Viscogliosi, professeure à l’École de réadaptation
Photo : UdeS

Chantal Viscogliosi, professeure à l’École de réadaptation de la Faculté de médecine et des sciences de la santé, fait la promotion de la santé à tous les niveaux. Plus particulièrement, elle se spécialise en santé cognitive, soit l’ensemble des activités mentales qui permettent à l’être humain d’acquérir et de manipuler des connaissances. De plus, elle se préoccupe des personnes en situation de handicap ou de vulnérabilité.

Clinicienne et formatrice depuis plusieurs années, la membre du Centre de recherche sur le vieillissement (CDRV) est sensible aux besoins des différents milieux de la santé.

Pour Chantal, ce qu’elle préfère le plus de la recherche partenariale, c’est le travail d’équipe. Certes quelquefois, les projets en partenariat peuvent être compliqués, mais ils permettent de mieux répondre aux besoins recherchés d’une organisation. Son rôle en tant que chercheuse : partir à la recherche de besoins et travailler afin d’adapter les données probantes pour y répondre.

Je m’assure que chaque individu, peu importe les capacités ou les situations de vulnérabilité, puisse s’accomplir et contribuer au bien-être collectif.

 Chantal Viscogliosi, professeure à l’École de réadaptation

Tout en s’impliquant dans plusieurs activités qui viennent en aide à autrui, elle souhaite développer des projets permettant aux gens de s’épanouir.

Les possibilités d’éducation interculturelle demeurent l’un des champs d’intérêt qui la font particulièrement vibrer. Elle recherche un partenaire avec lequel elle pourrait collaborer à améliorer les chances d’accession à l’université pour les étudiants haïtiens, et ce, dans le but de leur offrir une éducation de meilleure qualité. Elle souhaite également trouver une organisation prête à financer et promouvoir le développement des forces individuelles et collectives des peuples autochtones. Elle est aussi intéressée à un partenariat qui finance l’enseignement et l’implantation de stratégies cognitives auprès des aînés ayant des troubles neurocognitifs majeurs, comme l’Alzheimer.

La professeure est déjà impliquée dans le milieu communautaire et de la santé, mais souhaite contribuer à un projet de plus grande envergure pour implanter ses stratégies de réadaptation cognitive.


Ce portrait de chercheuse vous inspire? Contactez le Groupe de partenariats d’affaires (GPA) pour en savoir plus sur les occasions de recherche partenariale. 


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