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Un don de 50 000 $ à double vocation

Me Manlio Del Negro appuie sa Faculté et les étudiants

Me Manlio Del Negro en compagnie du doyen Sébastien Lebel-Grenier.

Me Manlio Del Negro en compagnie du doyen Sébastien Lebel-Grenier.


Photo : François Lafrance

Assurer la pérennité de sa Faculté : voilà le souhait de Me Manlio Del Negro, avocat criminaliste, diplômé du baccalauréat en droit en 1983.

En plus de s’investir à titre de coprésident d’honneur des Retrouvailles 2013, Me Del Negro a offert un soutien financier de 50 000 $ à sa Faculté. La moitié de cette somme a été dirigée vers le Grand chantier de modernisation de la bibliothèque et l’autre moitié a servi à créer le Fonds de bourses Me Manlio Del Negro, qui vise à soutenir une étudiante ou un étudiant inscrit dans le nouveau diplôme de 2e cycle en pratique du droit criminel et pénal.

Lorsque l’on écoute Me Del Negro parler de sa Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke, on comprend immédiatement que son passage à la faculté fut déterminant et qu’il l’aura marqué à tout jamais.  « Au moment de poursuivre mes études universitaires, j’ai choisi la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke pour la qualité de son enseignement et sa réputation d’excellence dans le monde juridique.  Dès mon arrivée, j’ai pu constater que cette réputation était concrète et que j’avais fait le bon choix ».  Outre de ses études, il parle avec émotion de ses professeurs, de ses amis avec qui il entretient encore d’étroites relations et du trait distinctif qui définit l’Université de Sherbrooke.

Déjà solidement investi dans sa communauté, Me Del Negro souhaite témoigner de ce que l’Université lui a transmis, soit le caractère humain qui transparait au curriculum de chaque avocat criminaliste. « Puisqu’il en va des droits fondamentaux des gens, il est impératif que le futur juriste possède une solide formation; il doit également être humain et être attentif aux besoins de ses clients », mentionne-t-il.

Enfin, Me Del Negro souhaite aussi soutenir le projet de réaménagement de la bibliothèque de droit qu’il considère comme le cœur de la Faculté de droit, l’endroit où le futur juriste pourra apprendre et maîtriser sa profession en devenir.


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