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Alain Piché, M.D. FRCPC

Formation

  • B.Sc. Biochimie, Université Laval (1983)
  • M.Sc., Microbiologie, Université de Sherbrooke (1986)
  • M.D., Université Laval, Québec (1990)
  • FRCPC – Microbiologie médicale (1995)
  • CSPQ – Microbiologie médicale et maladies infectieuses(1995)
  • Formation postdoctorale, University of Alabama at Birmingham, Birmingham, USA (1998)

Intérêts particuliers

Régulation des voies apoptotiques dans les cellules cancéreuses

Le cancer ovarien est le plus mortel des tous les cancers gynécologiques au Canada en raison de sa propension à faire des métastases, de sa progression insidieuse et du développement rapide de résistance à la chimiothérapie. Le laboratoire du Dr Piché s’intéresse principalement à la régulation de la cascade apoptotique dans les cellules cancéreuses ovariennes, à l’identification de nouvelles cibles thérapeutiques et au développement de traitement alternatif pour ce cancer létal. Son équipe déjà publié plusieurs travaux sur les protéines de la famille de Bcl-2 et leurs fonctions en tant que régulateur de la voie apoptotique mitochondriale dans les cellules de cancer ovarien.

Rôle du microenvironnement tumorale dans la régulation de la cascade apoptotique

Son laboratoire a  également effectué des travaux sur la voie des récepteurs de mort cellulaire et le rôle l’environnement tumoral dans la régulation de cette voie. Son équipe a également développé un modèle in vitro de résistance acquise à certains ligands des récepteurs de mort cellulaire pour investiguer comment la résistance à ces ligands peut se développer dans les cellules cancéreuses ovariennes. Ces différents travaux sur les récepteurs de mort cellulaire pourraient permettre l’identification de nouvelles cibles thérapeutiques pour augmenter l’efficacité de certains traitements cytotoxiques.

Réponse cellulaire en réaction à la liaison de la toxine A et de la toxine B de Clostridium difficile dans les cellules coliques

Le Clostridium difficile est le pathogène principalement responsable des diarrhées acquises en milieu hospitalier. Les interactions entre les entérotoxines produites par C. difficile et les cellules hôtes sont très mal connues. Son laboratoire étudie les voies de signalisation qui sont modulées par les entérotoxines.