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14e au monde selon la revue américaine The Scientist

L’UdeS reconnue comme l’un des meilleurs milieux de travail universitaires

Une séance de travaux pratiques en immunologie, à la Faculté des sciences.

Une séance de travaux pratiques en immunologie, à la Faculté des sciences.


Photo : Martin Blache

L’Université de Sherbrooke se classe au 14e rang mondial des meilleurs milieux universitaires où travailler, selon la revue américaine The Scientist. Elle est la seule université canadienne et seule francophone à être représentée dans ce palmarès.

The Scientist est un magazine américain consacré aux sciences de la vie, telles que la génétique, la biologie moléculaire, l’étude de la cellule, etc. Plus de 1000 chercheuses et chercheurs à temps plein dans le domaine ont répondu à ce sondage, réalisé pour la dixième année consécutive. Les répondants sont invités à évaluer l’environnement dans lequel ils travaillent : les lieux physiques, les infrastructures, les politiques internes, le soutien à l’enseignement ainsi que les ressources disponibles pour la recherche.

En analysant les résultats de ce sondage, on constate que l’Université de Sherbrooke se démarque particulièrement par les possibilités d’avancement, incluant l’obtention d’un poste de professeur titulaire, et par le niveau de satisfaction au travail.

«L’Université de Sherbrooke vise à devenir un joueur de premier plan en recherche et à assurer la relève académique. Ce type de reconnaissance d’un magazine indépendant nous permet de constater un présent porteur de succès et d’entrevoir un avenir prometteur pour la relève de notre corps professoral et pour l’avancement de la recherche», a souligné Jacques Beauvais, vice-recteur à la recherche de l’UdeS.

L’Université de Sherbrooke consacre au-delà de 100 M$ à la recherche par année et compte plus de 75 chaires de recherche, dont près d’une vingtaine en sciences de la vie.


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