Aller au contenu

Chaire de recherche du Canada en vibro-acoustique appliquée au secteur des transports

Influencer la principale source de bruit sur la planète

«Le bruit généré par l’industrie du transport constitue la principale source de bruit sur la planète. Et ça augmente d’année en année, tout simplement parce que le trafic augmente», illustre le professeur titulaire de la nouvelle Chaire de recherche du Canada en vibro-acoustique appliquée au secteur des transports, Alain Berry.
L’industrie du transport est un secteur important au Canada : l’aéronautique est 3e en importance au niveau planétaire, et l’industrie automobile, 8e. Comme les certifications seront de plus en plus sévères pour les compagnies aéronautiques par exemple, les actions concrètes en recherche et développement sont les bienvenues.
La majorité des sources de bruits provenant d’éléments en vibration, cette nouvelle chaire de recherche aura justement des objectifs en lien avec cette problématique complexe. Le professeur Berry et son équipe se pencheront principalement sur l’identification, la réduction et la reproduction du rayonnement acoustique des objets en vibration.
Mais est-ce que le fait de réduire les vibrations entraînera automatiquement une réduction du bruit ? Pas nécessairement. Dans le secteur des transports, on a affaire à des systèmes complexes. Les objets sont de grande taille, les matériaux de plus en plus complexes, les structures sont allégées et on couvre un grand éventail de fréquences acoustiques. «Pas une bonne nouvelle pour l’acousticien, car on augmente ainsi les probabilités d’avoir beaucoup de bruit…», poursuit le scientifique. Beaux défis à l’horizon!
Les humains dans la boucle
«Au-delà de la réduction du bruit, il y a aussi la notion de confort acoustique. Rendre l’expérience acoustique plaisante pour les humains. Un son jugé acceptable pour l’humain n’est pas forcément doux. Un son intense peut être attrayant, plaisant pour l’humain même s’il est intense. De plus, le confort acoustique d’un habitacle témoigne de la qualité globale d’un produit, d’où l’importance de la perception, du ressenti dans nos études», complète le Pr Berry.

«Le bruit généré par l’industrie du transport constitue la principale source de bruit sur la planète. Et ça augmente d’année en année, tout simplement parce que le trafic augmente», illustre le professeur titulaire de la nouvelle Chaire de recherche du Canada en vibro-acoustique appliquée au secteur des transports, Alain Berry.

L’industrie du transport est un secteur important au Canada : l’aéronautique est 3e en importance au niveau planétaire, et l’industrie automobile, 8e. Comme les certifications seront de plus en plus sévères pour les compagnies aéronautiques par exemple, les actions concrètes en recherche et développement sont les bienvenues.

La majorité des sources de bruits provenant d’éléments en vibration, cette nouvelle chaire de recherche aura justement des objectifs en lien avec cette problématique complexe. Le professeur Berry et son équipe se pencheront principalement sur l’identification, la réduction et la reproduction du rayonnement acoustique des objets en vibration.

Mais est-ce que le fait de réduire les vibrations entraînera automatiquement une réduction du bruit ? Pas nécessairement. Dans le secteur des transports, on a affaire à des systèmes complexes. Les objets sont de grande taille, les matériaux de plus en plus complexes, les structures sont allégées et on couvre un grand éventail de fréquences acoustiques. «Pas une bonne nouvelle pour l’acousticien, car on augmente ainsi les probabilités d’avoir beaucoup de bruit…», poursuit le scientifique. Beaux défis à l’horizon!

Les humains dans la boucle

«Au-delà de la réduction du bruit, il y a la notion de confort acoustique. Rendre l’expérience acoustique plaisante pour les humains. Un son jugé acceptable pour l’humain n’est pas forcément doux. Un son intense peut être attrayant, plaisant pour l’humain même s’il est intense. De plus, le confort acoustique d’un habitacle témoigne de la qualité globale d’un produit, d’où l’importance de la perception, du ressenti dans nos études», complète le Pr Berry.


Informations complémentaires