Aller au contenu

Ouverture aux autres langues

Polyglotte? Pourquoi pas!

L’Université de Sherbrooke est une jeune université francophone qui compte mériter une réputation du calibre des meilleures universités au monde. Elle choisit le défi d’être à la fois un pôle de renforcement de l’identité québécoise et un lieu d’ouverture sur le monde.

Pour favoriser les échanges avec des communautés non francophones et assurer notre présence dans les réseaux internationaux, la politique linguistique prévoit l’usage d’autres langues que le français. D’ailleurs, maîtriser une deuxième, voire une troisième langue est un atout majeur pour élargir ses perspectives universitaires, professionnelles et personnelles.

Profitons-en pendant les études

Afin de favoriser l’internationalisation de la formation de l’étudiante ou de l’étudiant ou son insertion professionnelle dans certains secteurs d’activités, l’Université encourage l’apprentissage de l’anglais et d’autres langues et cultures. Chacun a toutefois la responsabilité d’utiliser les ressources telles que le Centre de langues pour faciliter sa connaissance et sa maîtrise et d’autres langues.

L’Université peut, pour l’admission à certains programmes, exiger la compréhension raisonnable ou l’utilisation aisée d’une autre langue, notamment pour les cours de langues et de cultures étrangères.

Pour le travail ou pour le plaisir

Dans certains cas, une employée ou un employé qui occupe un poste nécessitant la connaissance ou un niveau de connaissance particulier d’une autre langue que le français peut communiquer dans cette autre langue conformément aux exigences de son poste.

Mais rien n’empêche aussi de s’ouvrir à d’autres cultures, tout simplement pour le plaisir d’apprendre. Le Centre de langues, par exemple, offre des ateliers de conversation, des services de soutien en français, anglais et espagnol, ainsi que l’aide d’une conseillère pédagogique dans ces trois langues. Leur expertise s’étend également à l’enseignement de l’italien, de l’allemand, du portugais, de l’arabe.

Nous évoluons dans une université francophone, ce dont nous pouvons être fiers. Mais le renforcement de la langue française est tout à fait compatible avec l'ouverture aux autres langues, et il ne doit pas se faire en s'isolant du reste du monde.