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Championnat SIC de cross-country

De l’expérience et un investissement pour l’avenir

Camille Moreaux. Microprogramme en formation juridique.
Camille Moreaux. Microprogramme en formation juridique.

Photo : Fournie par l'U. Guelph/Karyn Stepien

La formation de cross-country Vert & Or avait en tête d'acquérir de l'expérience et de mesurer sa progression lors de sa récente participation au Championnat de Sport interuniversitaire canadien (SIC) de cross-country à Guelph en Ontario, le samedi 14 novembre dernier.

De retour de cette compétition l'entraîneur du contingent sherbrookois Vincent Paquet croit avoir fait un très bon investissement et estime avoir atteint tous les objectifs fixés avant le départ.

D'une part les trois représentantes du Vert & Or Gabrielle Desharnais-Préfontaine Gabrielle Lebel et Camille Moreaux ont respectivement terminé aux 69e, 77e et 81e  rangs lors de l'épreuve féminine du 6 km.

Un peu plus tard à l’occasion du 10 km masculin, les trois premiers coureurs à compléter le parcours dans le camp de l'UdeS ont été Marc-André Raiche (73e), Olivier Ouellette (74e) et Charles Khazoom (86e). Les deux autres pointeurs étaient Marc-Antoine Crépeau et Jason Arguin, respectivement 110e et 115e. Julien Lachance (116e) et Thomas Windisch (122e) ont également pris part à la course pour l'Université de Sherbrooke. Les sept coureurs du Vert & Or ont eu une moyenne de course de 33 minutes et 10 secondes.

« Nos temps ont été inférieurs à ceux réalisés lors du championnat de conférence, ce qui correspond à un objectif important que nous nous étions fixés. C’est simplement que le calibre à ce niveau est très élevé et que cette progression n’est pas un gage de succès en soi. Dans l’ensemble on peut dire mission accomplie pour cette participation au Championnat SIC et c’est de l’expérience en banque pour nos jeunes coureurs et coureuses », a d’abord indiqué l’entraîneur des porte-couleurs de l’UdeS.

« Avec un adversaire dans notre ligue qui est parmi les plus forts sur la scène nationale, nous paraissons plus loin que nous le sommes en réalité. Il faut continuer de s’améliorer mais c’est certain qu’on se bat contre des grosses machines et il va falloir que nos athlètes en fassent plus et s’entraînent à l’année longue pour ce type de course. On ne peut plus uniquement s’entraîner fort l’automne. Ça va prendre plus que ça  », complète Vincent Paquet.