20 000 dossiers numérisés en un an!

À l'avant : Serge Fortier, directeur du Service des technologies de l'information (STI), France Myette, registraire, Martin Buteau, vice-recteur sortant aux études et aux ressources informationnelles. À l'arrière : André Denis, directeur général du groupe-conseil Integrim, Nancy Davignon, gestionnaire du projet au Bureau de la registraire, Julie Bergeron, analyste au STI, Nathalie Couture, adjointe au vice-décanat à la recherche à la Faculté des lettres et sciences humaines, et Jules Chassé, vice-recteur adjoint à l'administration.

Photo : Michel Caron

11 juin 2009

Sophie Vincent

Le Bureau de la registraire a tenu une activité de reconnaissance le 27 mai au Carrefour de l'information afin de souligner l'aboutissement de la création et de la mise en service du nouveau système de gestion du dossier étudiant (GEDA). Ce vaste chantier initié par le Bureau de la registraire a monopolisé des efforts de la part de plus de 120 membres du personnel de différents services et facultés; il a permis de numériser plus de 20 000 dossiers étudiants au cours des derniers mois.

Le système GEDA a été créé sur mesure en partenariat avec le groupe-conseil Integrim. Il permet de traiter et d'archiver numériquement les milliers de dossiers d'admission que l'Université reçoit chaque année. «Seulement depuis janvier 2009, c'est plus de 150 000 pièces justificatives d'admission qui ont été numérisées grâce au nouveau système GEDA», a précisé la registraire France Myette.

Ce nouveau système permettra de réduire de manière significative les délais de traitement, ce qui signifie que les candidats recevront plus rapidement une réponse à leur demande d'admission à un programme.

Lors du coquetel, le vice-recteur sortant aux ressources informationnelles, Martin Buteau, a souligné le caractère exemplaire de ce projet de grande envergure, qui s'est développé «grâce à une somme d'efforts collectifs considérables, déployés par le Bureau de la registraire, le Service des technologies de l'information, les facultés et le Bureau des archives, et qui témoigne de la complicité entre les gens de différentes unités administratives».