Remise de bourses à la Faculté de théologie, d'éthique et de philosophie

Pour La Fondation, mission accomplie!

Les récipiendaires de la Faculté de théologie, d'éthique et de philosophie, Alain Létourneau, directeur du Département de philosophie (à gauche), Alain Webster, vice-recteur à l'administration et au développement durable (à la droite d'Alain Létourneau), et Pierre C. Noël, doyen délégué de la Faculté (à droite).

Photo : François Lafrance

30 avril 2009

Chantal Roy

Le 9 avril, La Fondation de l'Université procédait à sa dernière remise de bourses facultaire pour l'année 2008-2009, celle des étudiantes et étudiants de la Faculté de théologie, d'éthique et de philosophie. Cette année seulement, La Fondation aura honoré plus de 200 lauréates et lauréats de toutes les facultés, en leur attribuant près de 400 000 $ en bourses.

Pour les départements de la Faculté de théologie, d'éthique et de philosophie, 2009 aura été une année charnière dans la vie de celles et ceux qui y évoluent. Fier de cette page d'histoire qui se tourne, le nouveau doyen délégué de la Faculté, Pierre C. Noël, s'est adressé aux récipiendaires avec émotion : «La motivation profonde qui détermine le souci de proximité avec nos étudiantes et étudiants est l'intérêt commun que nous avons pour les questions fondamentales sur le plan de la pensée, de l'agir et de l'être, a-t-il déclaré. Ces modestes bourses que nous vous remettons aujourd'hui sont le moyen de vous remercier pour votre engagement et investissement dans vos études.»

À la suite de cette dernière cérémonie de remise de bourses de l'année, le directeur adjoint du Service des relations avec les diplômées et diplômés, Pascal Grégoire, était heureux de souligner le succès des cérémonies facultaires : «Le fait d'avoir scindé la cérémonie annuelle en neuf événements a permis de créer un rapprochement entre les facultés et les donateurs, et entre les donateurs et les récipiendaires, permettant ainsi de favoriser l'appartenance envers l'Université, a-t-il dit. Désormais, les donateurs peuvent juger concrètement des effets bénéfiques de leur don sur la communauté étudiante. Cela vient confirmer l'importance de donner à la relève.»