Les numéros
de Liaison

5 juillet 2007 (no 20)
14 juin 2007 (no 19)
24 mai 2007 (no 18)
3 mai 2007 (no 17)
12 avril 2007 (no 16)
22 mars 2007 (no 15)
8 mars 2007 (no 14)
22 février 2007 (no 13)
8 février 2007 (no 12)
25 janvier 2007 (no 11)
11 janvier 2007 (no 10)
7 décembre 2006 (no 9)
23 novembre 2006 (no 8)
9 novembre 2006 (no 7)
26 octobre 2006 (no 6)
12 octobre 2006 (no 5)
28 septembre 2006 (no 4)
>14 septembre 2006 (no 3)
31 août 2006 (no 2)
17 août 2006 (no 1)
1993-1994 à 2005-2006

Les photos de l'année

Les photos 2005-2006
Les photos 2004-2005

Calendrier des parutions 2006-2007

L'équipe des publications Liaison

Liaison-région
Liaison-recherche
Liaison-Longueuil
Liaison-santé
Liaison-médias
Information sur Liaison
Pour nous joindre


 


 

Liaison, 14 septembre 2006

 

 
Karine Lavertu, vice-présidente du REMDUS, et Ndeye Fatou Bintou Dieng, vice-présidente de la FEUS, vous invitent à essayer un moyen de transport alternatif le 22 septembre.

Karine Lavertu, vice-présidente du REMDUS, et Ndeye Fatou Bintou Dieng, vice-présidente de la FEUS, vous invitent à essayer un moyen de transport alternatif le 22 septembre.

Photo : Roger Lafontaine

 


Laisser tomber l'auto… pour une journée

ROBIN RENAUD

Lors de la Journée sans voiture le 22 septembre, plusieurs aires de stationnement laisseront place aux piétons dans une ambiance de fête et de réflexion.

Dans plusieurs centaines de villes à travers le monde, le 22 septembre marque la journée sans voiture. Pour une seconde année consécutive, l'UdeS prend part à l'événement en invitant les conducteurs à délaisser leur automobile au profit d'autres moyens de locomotion tels que la marche, le vélo, l'autobus et le covoiturage. Pour inciter les automobilistes à passer de la parole aux actes, certains parcs de stationnement du Campus principal seront interdits d'accès aux voitures et céderont toute la place aux gens, qui seront invités à prendre part à une foule d'activités orchestrées par les associations étudiantes et l'Université.

Ainsi, les stationnements A1, A2, A8, B1, B2, B5, B6, C1, D3, E2, K4 seront interdits aux voitures. Les stationnements B3 et D4 seront respectivement réservés au covoiturage et aux voitures hybrides ou électriques. En revanche, les aires C2 et K2, fermées l'an dernier, demeureront accessibles pour y garer les véhicules.

En lieu et place des voitures, le comité organisateur compte installer un chapiteau au centre du campus, où pourra être servi le repas du midi. Des conférences seront également présentées à cet endroit, qui aura été décoré avec des plantes en vue d'évoquer un certain retour de la végétation dans cet espace bétonné. Dehors, des artistes de rue proposeront diverses prestations, tandis que des tournois sportifs de hockey cosom et d'ultimate frisbee opposeront les équipes des différentes facultés.

Pour Karine Lavertu, vice-présidente et responsable du développement durable au Regroupement des étudiantes et étudiants de maîtrise, de diplôme et de doctorat (REMDUS), il est normal que l'organisation d'une telle journée soit prise en charge en grande partie par les étudiantes et étudiants. Elle estime que l'un des objectifs de l'événement est de «montrer l'impact étudiant quant à la lutte aux gaz à effets de serre. Plusieurs ont une auto, mais tous ont le libre accès au transport en commun. Il faut donc les sensibiliser aux alternatives qui existent à l'usage d'une voiture à des fins individuelles».

Elle poursuit : «Le personnel de l'Université a aussi son rôle à jouer, notamment depuis la mise sur pied des mesures de transport durable. Par exemple, avec le logiciel Allégo qui favorise le covoiturage, plusieurs étudiants et employés qui résident dans des villes comme Windsor ou Magog peuvent éviter de se trouver seuls dans leur voiture et prendre contact avec des gens prêts à covoiturer.»

Sa consoeur Ndeye Fatou Bintou Dieng, vice-présidente à la condition étudiante à la FEUS, juge cette journée importante et souhaite avant toute chose que les automobilistes soient bien avertis de la tenue d'une telle journée. «Plusieurs parcs de stationnement du centre du campus seront fermés et les gens devront garer leur voiture dans les stationnements périphériques. Le temps d'une journée, les personnes vont pouvoir profiter d'un campus plus animé, pour voir ce que serait un campus s'il y avait moins de voitures. On peut imaginer un campus qui ressemblerait à une grande cour de récréation, un lieu de rassemblement, plutôt qu'un vaste parc de stationnement.»

Le 22 septembre, les personnes qui se présenteront à l'Université sans leur voiture ou en covoiturage recevront un ruban vert, signe de leur engagement environnemental. Pour les deux responsables, la journée sans voiture offre une belle opportunité de poser un geste concret qui va dans le sens des récentes initiatives prises par l'Université en matière de transport durable. «Plusieurs mesures louables sont mises de l'avant par l'Université, notamment en ce qui a trait au transport en commun. Cependant, il reste du chemin à faire pour améliorer le réseau cyclable et les trottoirs autour du campus», conclut Karine Lavertu.

Retour à la une

 

 

LIAISON est une
publication de
l'Université
de Sherbrooke

 

Éditeur :
Charles Vincent

Local F1-113,
Pavillon J.-S.-Bourque

(819) 821-7388

Liaison@USherbrooke.ca