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Liaison, 14 septembre 2006
Anecdotes et indiscrétions…
- L'Université a dû commander 2,5 kilomètres de satin doré à une
entreprise québécoise pour la confection des capes.
- L'organisation avait retenu les services de trois météorologues pour
décider de la tenue ou non de l'événement au stade extérieur. À l'heure
de prendre la décision finale, le recteur Bruno-Marie Béchard a tenté le
tout pour le tout pour négocier le pourcentage de risque d'averses avec
l'un des spécialistes. «Pourrait-on réduire le risque à 20 %, entre 13 h
et 16 h?» aurait argué le recteur.
- La doyenne des diplômés de la collation des grades était Mary
Pearson. Elle a reçu son doctorat en éducation à l'âge de 74 ans.
- L'Université compte 3449 nouveaux diplômés et diplômées. De ce
nombre, 2414 ont reçu leur baccalauréat, 962 leur diplôme de maîtrise et
73 leur doctorat.
- Trois musiciens assuraient l'ambiance lors de la remise de diplômes
à la Faculté des lettres et sciences humaines. Or, le trio a perdu un de
ses interprètes pendant quelques instants, alors que ce dernier était
appelé à recevoir son diplôme...
- Pour quelques secondes, trois finissants en génie ont retiré leur
toge pour revêtir les couleurs vert et or dans une tenue minimale, soit
un minuscule cache-sexe…
- Les drapeaux des 55 nations d'origine des diplômés étaient suspendus
au toit du stade intérieur. Or, le drapeau du Burundi a bien failli
briller par son absence, n'eut été de la clairvoyance de Jean-Gabin
Ntebutse. Non seulement cet étudiant a avisé les responsables, mais il a
déniché en toute hâte le drapeau manquant. L'initiative a certes été
appréciée par les cinq diplômés originaires de ce pays.
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