Les numéros
de Liaison

6 juillet 2006 (no 20)
15 juin 2006 (no 19)
25 mai 2006 (no 18)
4 mai 2006 (no 17)
13 avril 2006 (no 16)
23 mars 2006 (no 15)
9 mars 2006 (no 14)
23 février 2006 (no 13)
9 février 2006 (no 12)
26 janvier 2006 (no 11)
12 janvier 2006 (no 10)
8 décembre 2005 (no 9)
24 novembre 2005 (no 8)
>10 novembre 2005 (no 7)
27 octobre 2005 (no 6)
13 octobre 2005 (no 5)
29 septembre 2005 (no 4)
15 septembre 2005 (no 3)
1erseptembre 2005 (no 2)
18 août 2005 (no 1)

1993-1994 à 2004-2005

Les photos de l'année

Les photos 2004-2005

Calendrier des parutions 2006-2007

L'équipe des publications Liaison

Liaison-région
Liaison-recherche
Liaison-Longueuil
Liaison-médecine
Liaison-médias
Information sur Liaison
Pour nous joindre


 

 


 

Liaison, 10 novembre 2005

 

 
Les étudiantes et étudiants au certificat d'arts visuels auprès de leur œuvre.

Les étudiantes et étudiants au certificat d'arts visuels auprès de leur œuvre.

 


Pratique environnementale de l'in situ

Le 7 octobre, un groupe d'étudiants au certificat d'arts visuels ont réalisé un projet collectif s'inscrivant dans le contexte de la pratique environnementale de l'in situ. Il s'agissait d'une réflexion autour du thème de l'eau et de ce qu'elle représente dans notre monde actuel.

Ainsi, le groupe a réalisé une conceptualisation symbolique représentant les enjeux de la privatisation de l'eau, la surconsommation d'emballage, la survie des peuples sans eau, le recyclage des contenants, les peuples inondés, etc. Concrètement, le collectif a procédé aux actions suivantes : la transformation individuelle d'une bouteille vide de plastique avec insertion d'une note sur une habitude à changer concernant la consommation de l'eau; la récupération de 200 autres bouteilles de plastique à intégrer dans la transformation d'un lieu, en l'occurrence un ruisseau à sec, symbole de l'interdiction d'utiliser l'eau qui traverse le Centre d'art Orford puisqu'on y retrouve des œufs de tortue rarement répertoriée.

La pratique de l'in situ est issue de la sculpture, plus spécifiquement des mouvements du minimalisme et du land art. Il s'agit d'un passage entre un espace physique, où nous pouvons considérer des éléments mesurables et qualifiables, à un espace mental, caractérisé par la subjectivité et le sens propre que chacune et chacun y accorde.

Retour à la une

 

 

LIAISON est une
publication de
l'Université
de Sherbrooke

 

Éditeur :
Charles Vincent

Local F1-113,
Pavillon J.-S.-Bourque

(819) 821-7388

Liaison@USherbrooke.ca