Liaison, 27 janvier 2005
Une grande fête du Nouvel An sous le signe de la
sérénité
La grande fête du Nouvel An du jeudi 13 janvier se voulait cette année
plus que jamais une façon pour le recteur Bruno-Marie Béchard de remercier
les employés «d'être l'Université de Sherbrooke», cette institution qui
est devenue, après quelques années de développement intensif, «un centre
d'attraction au rayonnement international».
Plus de 800 personnes festoyant, se restaurant, bavardant et dansant :
la fête aura sans doute été le plus gros «party de famille» des
employés de l'Université en cette période des fêtes 2004-2005. Les
participants remplissaient une grande partie du stade intérieur du
Pavillon Univestrie.
«Quel plaisir de se retrouver en famille! a lancé le recteur. Après
trois années de développement à un rythme fou, savourons donc cette
université qui mérite désormais une réputation de premier calibre et qui
se situe parmi les meilleures universités au monde. Et cette université,
c'est vous! Merci d'être l'Université de Sherbrooke!» L'UdeS suscite une
admiration croissante, comme en témoignent les nombreuses cartes de vœux
reçues de grandes institutions québécoises dont plusieurs ont affirmé
qu'elle représentait «une source d'inspiration».
Le vœu du recteur pour 2005, année de consolidation, en est un de
sérénité. «Je veux tout faire pour augmenter le niveau de sérénité
en 2005. Mon premier engagement est de veiller sur vous et sur le
bien-être de l'Université, a-t-il affirmé. Nous allons relâcher la
pression de la dernière période de croissance.»
Pour une deuxième année, cocktail et souper-buffet étaient offerts. De
18 h à 20 h, l'Orchestre populaire de l'UdeS, Opus (voir article
ci-dessus), a offert son bon vieux rock rythmé au grand plaisir des
amateurs de danse. Ce sont des membres d'Universanté qui ont ouvert le bal
par une danse en ligne. Le recteur a d'ailleurs rappelé qu'Universanté a
organisé plus de 40 activités qui ont rassemblé pas moins de
2000 participants depuis sa création, il y a deux ans.
Opus a été suivi à 21 h par le groupe Intro, dont font partie deux
employés de l'Université. Un disque-jockey a pris la relève jusqu'à
minuit.
S.R.
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