Liaison, 30 septembre 2004
L'audace a porté fruit
Gilles
Pelloille
Le Conseil d'administration de l'Université a adopté le 28 septembre
les états financiers de l'année 2003-2004 démontrant un surplus de
260 000 $ au budget de fonctionnement courant pour l'exercice 2003-2004.
«En cette année de son cinquantième anniversaire, l'audace dont fait
preuve notre université continue de porter fruit puisque notre croissance
exceptionnelle se poursuit dans un contexte d'équilibre budgétaire. Dans
de telles conditions, nous continuons à envisager l'avenir avec
enthousiasme», affirme le recteur Bruno-Marie Béchard.
Les revenus totaux de l'Université atteignent 344 M$ en 2003-2004, en
hausse de 9 %. Au niveau du budget de fonctionnement courant, les revenus
sont de 223,8 M$, en hausse de 10 %, alors que les dépenses totalisent
223,6 M$, en hausse de 7 %. La croissance des revenus provient
principalement de l'augmentation de l'effectif étudiant à tous les cycles
ainsi que du financement accru des frais indirects de recherche par le
gouvernement du Canada.
«La croissance de l'effectif étudiant se poursuit à l'Université de
Sherbrooke avec une hausse de 8 % en 2003-2004 permettant une nouvelle
augmentation de la subvention gouvernementale de près de 10 M$. Cette
hausse des revenus d'enseignement, combinée au financement accru des frais
indirects de recherche, a permis à l'Université d'assumer l'augmentation
des coûts de la masse salariale et de répondre aux besoins stratégiques
prioritaires», explique Luce Samoisette, rectrice adjointe et
vice-rectrice à l'administration.
La recherche à l'Université poursuit son développement remarquable
en 2003-2004 avec une augmentation de 12 % des revenus de subventions et
contrats de recherche, pour atteindre 68 M$ excluant la recherche
comptabilisée dans les centres affiliés. «Les revenus associés aux
activités de recherche de la Faculté de génie ont connu une très forte
augmentation en 2003-2004 avec une croissance de 64 %. On note également
une croissance importante dans le secteur des sciences humaines», signale
Luce Samoisette.
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