|
Les jeunes de la région fiers de leur université
Il faisait un temps doux le samedi 7 févier et l'Université
de Sherbrooke était prête à accueillir des visiteurs de partout au Québec.
Instituée depuis quatre ans, la Journée des visites guidées de l'Université
de Sherbrooke vise à faire découvrir l'Université et ses programmes aux
futurs étudiants et étudiantes en prévision des inscriptions universitaires.
Au nombre des visiteurs et visiteuses, on compte des jeunes de Sainte-Foy,
de l'Abitibi et du Lac-Saint-Jean, mais aussi de Lennoxville, d'East Angus,
de Rock Forest et de Sherbrooke.
MYLÈNE ALARIE
Les jeunes Estriens le savent : l'une des meilleures
universités se trouve au cœur de leur région. Première université
francophone au Canada d'après une vaste étude effectuée par les firmes
Uthink et The Strategic Counsel, l'Université de Sherbrooke, qui célèbre
cette année son 50e anniversaire, jouit d'une réputation plus qu'enviable.
C'est une des raisons qui ont motivé le choix de Charles-Étienne Benoît, de
Sherbrooke, qui entend poursuivre des études en génie chimique, puis en
administration : «J'étais déjà vendu à l'Université de Sherbrooke. On n'a
presque pas le choix : la réputation, le régime coopératif, l'apprentissage
par projet…» Mathilde Lieutenant, elle aussi de Sherbrooke, reconnaît
également la réputation de l'Université de Sherbrooke : «La collaboration de
l'Université à de nombreux projets d'envergure de même que sa présence dans
les articles et les magazines scientifiques témoignent de l'excellence de sa
réputation.»
Des études stimulantes, un cadre de vie enrichissant
À l'Université de Sherbrooke, la vie est trépidante et tout
est mis en œuvre pour fournir aux étudiants et aux étudiantes un milieu de
vie où il est facile et agréable d'étudier. Du Carrefour de l'information au
Kudsak – le bar de l'Université – en passant par l'enseignement et le régime
coopératif, tout concourt à favoriser le bien-être et la réussite des
étudiants. Charles-Étienne Benoît a été très impressionné par les
installations modernes, les laboratoires d'informatique et les services
offerts aux étudiants. Pour Ève Dubuc-Gougeon, c'est le régime coopératif,
un programme de stages qui permet l'alternance entre les sessions d'études
et des stages rémunérés en milieu de travail, qui fait toute la différence.
Enfin, Marie-Julie Brissette et Alexandra Lauzière, de Lennoxville, ont été
séduites par l'ambiance chaleureuse qui règne à l'Université : «Ç'a été le
coup de foudre! Dès notre arrivée à la Journée des visites guidées, on a
tout de suite senti qu'on faisait partie de la «gang». Les gens sont
gentils, disponibles et passionnés : on a déjà fait nos demandes!»
Une région dynamique au cœur de la nature
Même si certains visiteurs estriens nous ont confié choisir
aussi l'Université de Sherbrooke pour des raisons financières (il est
beaucoup moins onéreux de poursuivre des études universitaires tout en
demeurant à la maison familiale), ils n'en ont pas moins vanté les mérites
de leur région. Le fait de pouvoir y pratiquer une variété de sports et
d'activités de plein air et d'avoir la possibilité de prendre part à des
événements culturels comme le Festival du lac des Nations constitue un atout
certain pour ces jeunes.
Entre les visites guidées du campus et les rencontres avec les
spécialistes pour l'admission, la journée s'est déroulée dans la joie et la
bonne humeur. Certains étudiants ont découvert de nouvelles facettes de
l'Université et d'autres ont confirmé leurs choix. Pourtant, alors qu'ils
n'en sont qu'à leurs premiers pas dans le monde universitaire, on les entend
déjà dire, comme les diplômés et diplômées : «À Sherbrooke, c'est pas
pareil!»
Retour à la une |