Aller au contenu

26e édition des Jeux de génie

Sherbrooke, 3e au classement général

Délégation sherbrookoise qui a participé à la 26e édition des Jeux de génie du Québec
Délégation sherbrookoise qui a participé à la 26e édition des Jeux de génie du Québec

44 étudiantes et étudiants de la Faculté de génie de l’Université de Sherbrooke ont participé aux Jeux de génie du Québec en janvier dernier à l’École de technologie supérieure (ÉTS) sous le thème, « Souvenirs d’enfance », afin de permettre aux 500 participants de revisiter l’éveil et l’évolution de l’ingénierie au Québec.  La délégation sherbrookoise a récolté sept premières positions durant cette compétition fort relevée regroupant toutes les autres institutions d’enseignement en génie au Québec. « Nous nous sommes particulièrement bien débrouillés durant la majorité des épreuves, terminant 3e au classement général », souligne avec fierté Geneviève Lamont, étudiante au baccalauréat en génie civil.

Organisés sous l’égide de la Confédération pour le rayonnement étudiant en ingénierie, les Jeux de génie se déroulent sur cinq jours. Ils comportent plusieurs épreuves dont les compétitions académiques, sportives, d’improvisation, de débats oratoires ou encore de connaissances générales.

La Machine, épreuve maîtresse de ces jeux, s’est déroulée au Théâtre Corona de Montréal devant jury et ouverte au public. « Cette année, des robots se sont affrontés comme dans l’émission, Robot Wars, dans un combat à mort en accomplissant certaines tâches comme le déplacement sur une surface inclinée et le transport d’objets », ajoute Geneviève Lamont.

Voici quelques résultats :

  • 1er Génie chimique
  • 1er Génie civil
  • 1er Génie électrique
  • 3e La Majeure
  • 3e Génie en herbe
  • 1er Connaissances générales
  • 1er Participation générale
  • 1er Esprit d’équipe
  • 1er dans les compétitions sportives
  • 3e au classement général

Les Jeux de génie constituent une très belle opportunité de simuler le marché du travail dans un esprit de franche camaraderie. En quelques jours, les futurs ingénieurs ont fait appel à leurs connaissances théoriques et pratiques, à leur ingéniosité, tout en conservant une allure professionnelle et un sens de l’éthique, pour répondre aux défis posés.