Jonathan est candidat au doctorat en droit des Universités de Sherbrooke et de La Rochelle dans le cadre d'une cotutelle co-dirigée par les professeurs Linda Arcelin (France) et Arthur Oulaï (Québec).
Le projet de thèse porte sur la dématérialisation et le droit de la preuve. Il s'agit de mettre en évidence l'influence de la technologie sur le domaine probatoire et sur les nouveaux moyens de se constituer une preuve dans un contexte technologique. Enfin, le choix d'étudier cette question sous l'angle de la méthode comparative des droits français et québécois, permet de faire apparaître les convergences et les divergences des méthodes choisies, afin d'en tirer les meilleures conclusions.
Ce projet est la suite d'un rapport (récompensé en 2015) effectué dans le cadre d'un stage coopératif en tant que consultant juridique au sein d'une entreprise montréalaise dans le cadre du master. Ce stage traitait de l'intéropérabilité juridique des certificats de signature électronique entre l'Europe et l'Amérique du Nord.
Parallèlement à la recherche, Jonathan dispense des cours de travaux dirigés en droit civil des personnes et de la famille, en droit des obligations, des contrats et de la responsabilité civile, en méthodologie juridique, ainsi qu'un cours magistral de master en droit de la preuve électronique, à l'Université de La Rochelle.
Intervention sur la signature électronique dans le cadre du colloque, « Numérique, éthique et droit » à l’Université de La Rochelle (France), 2018.
Rédaction de plusieurs rapports scientifiques dans le cadre du projet interdisciplinaire SHADES (Semantic Hash Advanced Document Electronic Signature) financé par l'ANR, 2014/2018 :