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Solidarité au féminin

Deux legs testamentaires qui font avancer les choses

Hélène Larivée et Carole Besner, en compagnie du doyen Sébastien Lebel-Grenier.
Hélène Larivée et Carole Besner, en compagnie du doyen Sébastien Lebel-Grenier.

Photo : Université de Sherbrooke

Hélène Larivée et Carole Besner : deux femmes de tête, deux femmes au parcours très différent. Leur vie s’est croisée sur les bancs de la Faculté, toutes deux lors d’un retour aux études; l’une pour devenir avocate et l’autre, notaire.

Après plusieurs années à oeuvrer dans le milieu du spectacle, Hélène Larivée a envie de changement et entreprend ses études en droit. Quant à Carole Besner, l’appel du droit s’est fait sentir après l’obtention d’un baccalauréat en biologie, puis d’une carrière comme enseignante en sciences au secondaire.

Point commun? Elles croient en l’éducation comme valeur fondamentale de la société. Pour elles, l’accès à un enseignement de qualité contribue à une société plus juste et mieux outillée pouvant répondre aux défis d’aujourd’hui et de demain. Et c’est exactement pour cette raison qu’elles ont toutes les deux choisi de faire un legs testamentaire important pour la création d’un fonds de bourses à l’Université de Sherbrooke. À l’image de leur vécu respectif, le don d’Hélène Larivée offre un soutien  financier à des femmes qui souhaitent accéder à de meilleures conditions de vie grâce à une formation universitaire, tandis que celui de Carole Besner vise à encourager celles qui manifestent un intérêt pour les sciences et le génie.

Dans le cadre de la campagne D’avenirs et de passions, elles invitent tous ceux et celles qui croient en la noble cause de l’éducation à envisager, comme elles, le legs testamentaire.