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Le SoDRUS : un centre de recherche reconnu et financé

Marie-Pierre Robert et Claude Gélinas, codirecteurs du SoDRUS, en compagnie de Sylvana Al Baba Douaihy, doctorante en étude du religieux contemporain.
Marie-Pierre Robert et Claude Gélinas, codirecteurs du SoDRUS, en compagnie de Sylvana Al Baba Douaihy, doctorante en étude du religieux contemporain.
Photo : Université de Sherbrooke

En décembre dernier, le Centre de recherche Société, Droit et Religions de l'Université de Sherbrooke (SoDRUS) a de nouveau obtenu sa reconnaissance officielle en tant que centre de recherche de l’UdeS. Délivré par le Conseil universitaire de l’Université, ce statut est assorti d’un financement intéressant qui lui permettra de poursuivre ses activités pour les six prochaines années. Parmi les critères de sélection, on trouve la complémentarité des expertises des membres, la pertinence du centre ainsi que l’impact anticipé de ses travaux.

« C’est une reconnaissance institutionnelle très importante pour le SoDRUS, qui récompense le travail qui a été fait dans les dernières années et qui lui permettra de s’épanouir davantage dans les années à venir » affirme Marie-Pierre Robert, professeure à la Faculté de droit et  membre du SoDRUS.

À propos du SoDRUS

Le SoDRUS est un centre de recherche interdisciplinaire qui s’intéresse aux différents aspects du pluralisme religieux au Canada. Il regroupe 13 chercheurs (10 membres réguliers et 3 associés) relevant de trois facultés (droit, administration, lettres et sciences humaines) qui travaillent de concert autour du cadre théorique du métissage normatif, c’est-à-dire l’influence réciproque des normes étatiques, religieuses et sociales.

Depuis sa création en 2003, le Centre a mené plusieurs projets de recherche financés et organisé plusieurs colloques. Ses membres se sont intéressés notamment au port du voile intégral, à la criminalisation de la polygamie, à la neutralité religieuse, aux racines du multiculturalisme, aux mariages religieux et à l’asile religieux.