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Nouvelle tradition au sein de la Faculté

Cérémonie de dévoilement de la mosaïque des finissants 2014

Nada Boumeftah, la représentante de la cohorte 2014
Nada Boumeftah, la représentante de la cohorte 2014

Photo : Faculté de droit

« Même si nous finissons cette année, nous serons toujours des étudiants de la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke; le Vert et Or sur notre épaule et de fiers porteurs de ces couleurs dans nos cœurs. » Voilà un peu l’essence du message porté par la représentante de la cohorte 2014, Nada Boumeftah, lors de la cérémonie de dévoilement de la mosaïque des finissants tenue le 2 avril à la bibliothèque de droit.

La Faculté de droit a posé un nouveau jalon à ses traditions facultaires en organisant cette première cérémonie de dévoilement. « Traditionnellement, la Faculté n’organisait pas de dévoilement officiel. Une fois terminée, la mosaïque était accrochée dans la bibliothèque. Maintenant, nous souhaitons en faire une sorte de tradition. Nous voulons célébrer avec vous cet événement important, la dernière célébration avant les examens, a expliqué le doyen Lebel-Grenier. J’aurai l’occasion de vous le répéter lors de la Collation des grades, mais je vous invite à revenir à la Faculté et à participer à vos retrouvailles aux cinq ans. »

Quelques étudiants de la cohorte
Quelques étudiants de la cohorte

Photo : Faculté de droit

Plus que de simples cadres, les mosaïques sont porteuses d’un fort sentiment d’appartenance pour les cohortes. Les diplômés sont attachés à leur Faculté, qui demeure pour eux un lieu important et significatif. Non seulement elles permettent aux étudiants de voir quels juristes ont été façonnés en ses murs, dont de nombreuses personnalités connues, mais aussi de suivre son évolution. En effet, peu de femmes figurent dans les plus anciennes mosaïques, alors que cette tendance est très différente aujourd’hui.

En quelques mots, Nada Boumeftah a su exprimer toute la signification de l’événement. « Cette mosaïque représente notre impérissable passage à la Faculté. Elle est présentée comme une œuvre d’ensemble pour nous, mais aussi pour les universitaires de demain. »