La victime de l’infraction criminelle ou pénale, la victime du système judiciaire ou carcéral : deux réalités appréhendées à travers le droit comparé
- Date :
- Cet événement est passé.
- Type :
- Colloques et congrès
- Public :
- Tous
- Lieu :
- Cour d’appel, Édifice Ernest-Cormier, 100, rue Notre-Dame Est, Montréal
- Coût :
- 100 $ (tarif rég.) 35 $ (tarif étudiant à temps complet)
Description :
Colloque organisé par l'Association québécoise de droit comparé, dont la professeure Nathalie Vézina en est la présidente.
Sous la présidence de l'honorable François Doyen, le colloque 2019 aborde un sujet de droit public rarement envisagé sous un angle comparatif dans le contexte québécois, soit le domaine du droit criminel et pénal.
Le thème précis est celui de la victime, une notion qui sera envisagée dans une perspective large qui embrasse deux facettes du droit. La première facette apparaît d’emblée : comment le droit criminel et pénal accompagne-t-il – ou devrait-il accompagner – la victime d’une infraction criminelle ou pénale? La seconde, moins couramment associée à la notion de victime au sens strict du terme, mérite pourtant de s’y attarder sous cet angle : dans quelle mesure la personne prévenue ou condamnée peut-elle devenir victime du système judiciaire ou carcéral et comment prévenir ou mettre fin à un tel phénomène?
Sous la présidence de l'honorable François Doyen, le colloque 2019 aborde un sujet de droit public rarement envisagé sous un angle comparatif dans le contexte québécois, soit le domaine du droit criminel et pénal.
Le thème précis est celui de la victime, une notion qui sera envisagée dans une perspective large qui embrasse deux facettes du droit. La première facette apparaît d’emblée : comment le droit criminel et pénal accompagne-t-il – ou devrait-il accompagner – la victime d’une infraction criminelle ou pénale? La seconde, moins couramment associée à la notion de victime au sens strict du terme, mérite pourtant de s’y attarder sous cet angle : dans quelle mesure la personne prévenue ou condamnée peut-elle devenir victime du système judiciaire ou carcéral et comment prévenir ou mettre fin à un tel phénomène?