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Une aide financière de 400 000 $ pour un projet dans le domaine de l’énergie solaire

Vincent Aimez, directeur des partenariats scientifiques du C2MI, présente l’équipement scientifique qui servira à fabriquer les cellules solaires qui feront partie des systèmes thermoélectriques. Il est accompagné de Serge Cardin, député de Sherbrooke, d’Alain Webster, vice-recteur au développement durable et aux relations gouvernementales de l’UdeS, et de Mathieu Chagnon, président de Rackam.
Vincent Aimez, directeur des partenariats scientifiques du C2MI, présente l’équipement scientifique qui servira à fabriquer les cellules solaires qui feront partie des systèmes thermoélectriques. Il est accompagné de Serge Cardin, député de Sherbrooke, d’Alain Webster, vice-recteur au développement durable et aux relations gouvernementales de l’UdeS, et de Mathieu Chagnon, président de Rackam.
Photo : Michel Caron

Le 27 février, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut interdisciplinaire d’innovation technologique (3IT) de l’Université de Sherbrooke. Le ministère des Finances et de l’Économie a annoncé l’attribution d’une aide financière de 400 000 $ pour la réalisation d’un projet de démonstration de centrales thermoélectriques évalué à 2 876 000 $.

Grâce au Programme d’appui au développement des secteurs stratégiques et des créneaux d’excellence, trois partenaires du projet, soit l’Université de Sherbrooke, Cascades et Rackam, une entreprise spécialisée dans la réalisation de projets techniques novateurs liés notamment à l’énergie solaire, pourront mettre au point et offrir une solution technologique propre, durable et rentable en mettant de l’avant l’énergie solaire. Ce projet s’inscrit dans un créneau d’excellence d’Industrie des systèmes électroniques du Québec (CISEQ), autrefois connu sous le nom de MicroTeQ-10.

Le projet vise trois démonstrations de centrales thermoélectriques et la création de deux solutions combinées potentiellement commercialisables d’ici deux ans. Le tout aura comme bénéfice unique de permettre la génération d’énergie électrique qui pourra être reportée dans le temps, notamment en emmagasinant la chaleur, ce qui ouvre la voie à la production électrique propre. L’équipe en place réalisera les démonstrations par étapes et les deux premières installations seront situées sur le site de l’Université de Sherbrooke.