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Rio Tinto contribue à changer le monde au féminin

Renouvellement de la Chaire CRSNG pour les femmes en sciences et en génie au Québec

Mme Geneviève Latour, directrice générale, communautés et communications, Rio Tinto Aluminium, M. Patrik Doucet, doyen de la Faculté de génie de l’UdeS, M. Pascal Grégoire, directeur général adjoint de La Fondation de l’UdeS, et la Pre Eve Langelier, titulaire de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie.
Mme Geneviève Latour, directrice générale, communautés et communications, Rio Tinto Aluminium, M. Patrik Doucet, doyen de la Faculté de génie de l’UdeS, M. Pascal Grégoire, directeur général adjoint de La Fondation de l’UdeS, et la Pre Eve Langelier, titulaire de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie.
Photo : Michel Caron - UdeS

Grâce à un appui de 1 M$ du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et de différents partenaires et donateurs, dont une contribution majeure de Rio Tinto, la professeure Eve Langelier pourra poursuivre les travaux amorcés au cours des cinq dernières années au sein de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie (CFSG).

La CFSG a pour mission d’accroître la présence féminine en sciences et en génie au moyen d’actions visant le recrutement, la rétention et la progression des femmes dans ces domaines.

Pour y arriver, elle conçoit des activités à l’intention des filles et des femmes, de l’école jusqu’au milieu du travail. Elle intervient également auprès du cercle d’influence de ces dernières, comme le personnel enseignant.

En parallèle, l’équipe de recherche documente l’avancement des femmes scientifiques et des ingénieures et mène des études pour mettre en lumière les difficultés vécues par celles-ci et pour cadrer les choix qu’elles font quant à leur carrière.

La présence féminine en sciences et génie : essentielle pour notre société

Pour la professeure Eve Langelier, titulaire de la CFSG depuis 2015, la présence des femmes en sciences et en génie est incontournable pour avancer socialement :

(Photo prise avant l'entrée en vigueur des mesures de distanciation)
(Photo prise avant l'entrée en vigueur des mesures de distanciation)

Photo : Martin Blanche - UdeS

L’équilibre et la diversité des genres dans les professions de ces domaines sont favorables à l’innovation et à la performance grâce, notamment, à la variété et à la complémentarité des préoccupations, des perceptions et des idées.

Le recteur de l’Université de Sherbrooke, le professeur Pierre Cossette, abonde dans le même sens et soutient que les travaux de la Chaire cadrent parfaitement avec les valeurs de l’institution :

L’Université de Sherbrooke veut devenir un milieu exemplaire en matière d’égalité, de diversité et d’inclusion. La contribution de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie est déterminante dans les actions que nous posons au quotidien dans notre quête d’excellence.

Une chaire qui mobilise les milieux

L'équipe de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie du Québec. Absente de la photo : la Pre Fatima Bousadra, directrice du Centre de recherche sur l’enseignement et l’apprentissage des sciences (CREAS) et collaboratrice importante de la Chaire. (Photo prise avant l'entrée en vigueur des mesures de distanciation)
L'équipe de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie du Québec. Absente de la photo : la Pre Fatima Bousadra, directrice du Centre de recherche sur l’enseignement et l’apprentissage des sciences (CREAS) et collaboratrice importante de la Chaire. (Photo prise avant l'entrée en vigueur des mesures de distanciation)

Photo : Michel Caron - UdeS

Les objectifs de la Chaire vont bien au-delà du nombre d’inscriptions dans les facultés de Sciences et de Génie.

C’est une chose d’augmenter la représentation féminine en sciences et génie, mais il faut aussi soutenir ces femmes tout au long de leur parcours et même lorsqu’elles sont en poste.

Professeure Eve Langelier

C'est pourquoi la Chaire mise sur la mobilisation des milieux, comme les écoles, les universités, les associations étudiantes et les entreprises, afin de favoriser la promotion des sciences et du génie auprès des femmes et pour stimuler leur recrutement, leur rétention et leur progression dans ces domaines.

« On veut aussi, évidemment, toucher les filles directement en leur présentant toutes les possibilités qu’offrent les études et les carrières en sciences et génie, ajoute la chercheuse. On aspire à réduire les barrières qui pourraient les freiner. »

Un don majeur de Rio Tinto pour la poursuite des travaux

Pour son prochain mandat, la Chaire CRSNG pour les femmes en sciences et génie pourra compter sur un don important provenant de Rio Tinto. En effet, par l’entremise de son Fonds Rio Tinto Aluminium Canada, l’entreprise s’est engagée à verser 250 000 $ sur une période de 5 ans pour les travaux de la professeure Eve Langelier.

Geneviève Latour, directrice générale, communautés et communications chez Rio Tinto Aluminium, se dit heureuse de pouvoir soutenir la CFSG :

« Étant partenaires de l’Université de Sherbrooke depuis plus de 30 ans, nous sommes très fiers d’appuyer cet important projet  visant à soutenir l’avancement des femmes en sciences et en génie. »

Tout comme Rio Tinto, l’industrie minière a besoin de l’expertise des femmes en génie, et nous croyons fermement que les activités de la Chaire auront des retombées positives sur leur recrutement et leur maintien en poste au sein de notre industrie. Nous le constatons déjà : plus nos équipes sont diversifiées, plus elles sont créatives et performantes.

Geneviève Latour, directrice générale, communautés et communications chez Rio Tinto

La Pre Eve Langelier accompagnée de M. Stéphane Raymond, directeur général régional – Est de l’Amérique du Nord, Hatch. (Photo prise avant l'entrée en vigueur des mesures de distanciation)
La Pre Eve Langelier accompagnée de M. Stéphane Raymond, directeur général régional – Est de l’Amérique du Nord, Hatch. (Photo prise avant l'entrée en vigueur des mesures de distanciation)

Photo : Fournie

La Chaire pourra aussi compter sur un important don provenant de la compagnie Hatch. Elle profite aussi du soutien d’autres partenaires, soit GE Aviation, l’Association minière du Québec, le Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies (FRQNT), la Fondation canadienne FCSCJ et le Secrétariat à la condition féminine.




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