Aller au contenu

International

Une tournée pour consolider la présence de l’UdeS en France

Les représentants de l’UdeS ont été accueillis chaleureusement à l’Ambassade du Canada par la nouvelle ambassadrice Isabelle Hudon.
Les représentants de l’UdeS ont été accueillis chaleureusement à l’Ambassade du Canada par la nouvelle ambassadrice Isabelle Hudon.
Photo : Fournie

Une délégation de l’Université de Sherbrooke menée par le recteur Pierre Cossette était en mission en France, du 21 au 29 mars, afin de rencontrer des partenaires universitaires français. Le vice-recteur aux relations internationales Jean Goulet et le vice-recteur à la valorisation et aux partenariats Vincent Aimez faisaient partie du voyage, tout comme la directrice de l’Agence des relations internationales, Pascale Lafrance.

Les représentants de l’UdeS ont effectué une première visite à l’Ambassade du Canada avec la présence de la nouvelle ambassadrice Isabelle Hudon et de Jacques-Henri Gagnon, chef des relations universitaires. Le lendemain, ils ont été reçus à la Délégation générale du Québec à Paris où ils ont tenu une rencontre de travail avec Caroline Mailloux, attachée scientifique, et Catherine Dalphond, première conseillère aux affaires politiques et à la coopération.

« C’était l’occasion de réaffirmer la présence de l’Université de Sherbrooke auprès des représentations officielles du Canada et du Québec à Paris et faire connaître nos atouts stratégiques et nos objectifs pour la France, explique le recteur Cossette. Nous avons aussi rencontré quelques-uns de nos partenaires universitaires afin de discuter avec eux de nouvelles pistes de collaboration en recherche et en formation ».

La délégation s’est également rendue au siège social du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), où elle a été accueillie par son président-directeur général, Antoine Petit. « Nous avons profité de l’occasion pour positionner nos équipes de recherche qui collaborent avec des universités françaises, mettre de l’avant nos approches novatrices en gestion de la propriété intellectuelle et notre stratégie de valorisation », précise Pierre Cossette.

L’itinéraire de la délégation comprenait ensuite l’Université de Montpellier et Paul-Valéry Montpellier 3, l’Université de Lyon et l’Université de Bordeaux. « Les chercheurs québécois ont une réputation enviable en France, souligne Vincent Aimez. Nous tenions à nous présenter comme un partenaire de choix pour les établissements français dans leur processus d’internationalisation, de mobilité étudiante et de collaborations en recherche de pointe ».

Le vice-recteur aux relations internationales Jean Goulet et le recteur Pierre Cossette devant la nouvelle faculté de médecine de Montpellier.
Le vice-recteur aux relations internationales Jean Goulet et le recteur Pierre Cossette devant la nouvelle faculté de médecine de Montpellier.

À Montpellier, la délégation de l’UdeS a eu droit à une visite spéciale des nouvelles installations de la Faculté de médecine. Les membres de la direction des établissements partenaires ont aussi entamé les discussions en vue de l’organisation des prochaines Rencontres scientifiques Sherbrooke-Montpellier qui auront lieu à Sherbrooke en 2019 et qui offriront une grande place aux collaborations entre les étudiants québécois et français.

À Lyon et à Bordeaux, le vice-recteur à la recherche et aux études supérieures Jean-Pierre Perreault, le doyen de la Faculté de droit Sébastien Lebel-Grenier, le doyen de la Faculté de génie Patrik Doucet, le président-directeur général de l’Accélérateur de création d’entreprises technologiques (ACET) Ghyslain Goulet, la vice-doyenne à la recherche de la Faculté de médecine et des sciences de la santé Nathalie Rivard, la professeure du Centre de recherche sur le vieillissement Suzanne Garon, et le directeur de l’Institut de pharmacologie Éric Marsault, se sont joints à la délégation pour approfondir les possibilités de collaborations en recherche et en enseignement, et se familiariser avec les écosystèmes entrepreneuriaux, municipaux et régionaux en lien avec les établissements membres.

Les rencontres de travail ont fait ressortir de nombreuses forces communes et complémentaires en recherche sur lesquelles les établissements pourront s’appuyer pour travailler ensemble. À titre d’exemple, la professeure-chercheuse Suzanne Garon, de l’École de travail social de l’UdeS et du Centre de recherche sur le vieillissement, a présenté son programme Ville amie des aînés, un projet-pilote qui rallie de multiples acteurs et porte sur la capacité d’agir des aînés dans le contexte social actuel.

Le passage à Bordeaux a été ponctué par la signature d’un accord de coopération qui visera à intensifier les collaborations déjà bien actives, notamment en recherche et en enseignement.