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Les personnes proches aidantes en CHSLD

Mieux les impliquer pour mieux soigner

Professeure Jessika Roy-Desruisseaux, du Département de psychiatrie
Professeure Jessika Roy-Desruisseaux, du Département de psychiatrie

Photo : Martin Blache

Hallucinations, retrait social et perte de mémoire sont souvent des manifestations d’un trouble cognitif, comme la maladie d’Alzheimer, un diagnostic courant chez les personnes vivant en CHSLD. D’ailleurs, vous en connaissez probablement une, de près ou de loin, dans cette situation.

Afin de prévenir ou traiter les symptômes de la personne malade, le personnel soignant nécessite énormément d’information sur elle. Cependant, puisque ce trouble affecte des fonctions cognitives comme la mémoire, il ne peut pas toujours se fier aux propos de la ou du malade. Ainsi, les personnes proches aidantes s’avèrent être des sources riches en renseignements.

Mais qu’en est-il de leurs besoins à elles? Comment s’assurer d’une bonne collaboration?

La professeure Jessika Roy-Desruisseaux et son équipe de recherche se sont penchées sur ces questions. Elles ont discuté avec 32 proches aidantes ou aidants d’une personne atteinte d’un trouble cognitif, hébergée soit au CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal ou au CIUSSS de Estrie-CHUS. Les résultats qui en découlent sont surprenants.

Pour en savoir davantage, écoutez l’entretien avec la professeure Roy-Desruisseaux et découvrez les conclusions de l’étude et les changements que ceux-ci peuvent apporter au domaine médical.


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