La renaissance du disco
Le spectacle Night Fever sera présenté 14 fois
au cours du mois d'août
MARIE FERLAND
C'est après un passage fracassant à Québec et à Montréal que Night
Fever, la mégaproduction signée René Simard, s'installe pour 14 soirées
d'août au Centre culturel de l'Université de Sherbrooke. Joignez-vous à
cette fête extraordinaire!
Après Génération Motown et Dalida, une vie, René Simard est
passé maître dans l'art de la mise en scène. Le voici qui récidive avec
Night Fever, une production alliant la musique d'une autre époque aux
multiples possibilités de la technologie d'aujourd'hui.
La star : le disco
Le disco a été créé pour permettre à tous de s'amuser, de s'éclater et de
se laisser aller. C'est ce que propose également Night Fever, avec
une cinquantaine de chansons mises en valeur par cinq chanteurs, sept
musiciens, dix danseurs – en plus de la participation spéciale de six
danseurs du Studio Party Time – et à travers des chorégraphies étonnantes.
Difficile de ne pas trouver son compte avec les interprétations de
Staying Alive des Bee Gees, I Will Survive de Gloria Gaynor,
ainsi que Celebration de Kool & the Gang et Dancing Queen d'Abba.
Les succès québécois n'ont pas été oubliés puisque l'on a fait une place de
choix à des classiques de Boule Noire et de Patsy Gallant, pour ne nommer
qu'eux.
René Simard a vécu pleinement la période musicale du disco en s'éclatant
sur les planchers de danse des discothèques; son objectif premier avec
Night Fever était que ce style musical devienne la grande vedette de la
production. Mission accomplie : public et critique sont unanimes et l'on ne
tarit pas d'éloges envers le concepteur et metteur en scène qui a su
redonner au disco toute l'élégance qu'il mérite.
Dans un époustouflant décor incluant notamment une boule miroir motorisée
de 3 m de diamètre, un laser contrôlé par ordinateur et des lumières
animées, Night Fever vous réserve un univers fabuleux.
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